LES ENQUÊTES DE LOGICIELLE

     Ici l'auteur confie à Henry, le narrateur, facteur de son état la tâche de raconter l'enquête. Henry découvre le cadavre d'un homme encastré dans une planche à clous et cela, dans le vestibule du Rageot's Club, où ne sont admis que les meilleurs illusionnistes... Bien que seuls Logicielle et Max soient habilités à mener l'enquête, on a parfois l'impression que c'est Henry qui tire les ficelles. Le mobile du crime : la victime, Alex Andrini (n'y voir aucune allusion...), était le plus grand des illusionnistes, mais ne faisait pas partie du club et gardait jalousement ses secrets. S'en emparer, c'était la gloire assurée.

     Le crime a eu lieu alors que tous les membres du club dînaient ensemble au restaurant, en compagnie de Logicielle et de Max, le Rageot's club étant fermé. Une enquête, à la Conan Doyle, de l'humour, noir parfois, assez de sang pour faire frémir mais pas assez pour donner des cauchemars. Suspense garanti tout au long d'un récit où affleure la bonne humeur de l'auteur.

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