La terre, lieu de passage pour un monde parallèle ; le savoir millénaire des sociétés secrètes ; l'immortalité ; la tradition inscrite dans notre code génétique ; la construction secrète de refuges atomiques, etc.
Un nouveau dossier extraordinaire de Jacques Bergier.
[Texte du rabat gauche de la jaquette]
Dans ce nouvel ouvrage, Jacques Bergier aborde, avec un maximum d'informations et de réflexion, quelques-uns des problèmes capitaux qui se posent à l'esprit humain :
- La Terre serait-elle un lieu de passage vers un monde parallèle ?
Certains lieux peuvent-ils être considérés, alors, comme des "portes induites" ?
- Il est probable que des sociétés secrètes plus anciennes qu'on ne pense conservent aujourd'hui des secrets datant de plusieurs dizaines de milliers d'années.
- Peut-on envisager l'hypothèse que des immortels vivent parmi nous nous en rendions compte ?
- La tradition, source de l'initiation, serait présente en nous tous, inscrite dans notre code génétique.
- Des refuges sont préparés en ce moment même secrètement, pour sauver quelques élus d'un cataclysme atomique toujours possible.
Ce livre, le plus audacieux de tous les ouvrages de Jacques Bergier, paraît aujourd'hui extraordinaire.
Dans quelques dizaines d'années, on trouvera peut-être timides les idées qui y sont exprimées...
[Texte du rabat droit de la jaquette]
Né en 1912 à Odessa, Jacques Bergier a une formation d'ingénieur chimiste.
En 1936, il découvre avec André Helbronner l'utilisation de l'eau lourde pour le Freinage des neutrons et réalise avec lui la première synthèse d'un élément radio-actif naturel, le polonium.
En 1950, il invente le refroidissement électronique des réacteurs nucléaires. Organisateur d'un réseau de renseignements scientifiques, il s'est, pendant la guerre, occupé de la récupération et du transfert en Angleterre de l'eau lourde de Norvège. Plus de vingt ouvrages l'ont fait connaître du grand public : Le matin des magiciens, en collaboration avec Louis Pauwels, Les empires de la chimie moderne, L'espionnage politique, etc.
Jacques Bergier est membre de l'Académie des Sciences de New York.