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Odyssées – L'Intégrale des nouvelles

Arthur C. CLARKE

Titre original : The Collected Stories of Arthur C. Clarke, 2000
Première parution : Angleterre, Londres : Gollancz/Orion, janvier 2000

Traduction révisée par Tom CLEGG

BRAGELONNE (Paris, France), coll. Science-fiction
Dépôt légal : décembre 2013
Première édition
Recueil de nouvelles, 1128 pages, catégorie / prix : 28 €
ISBN : 978-2-35294-684-7
Format : 15,3 x 23,8 cm
Genre : Science-Fiction

Illustration de couverture : (c) Shutterstock. Traductions révisées et corrigées par Tom Clegg, qui a également annoté les textes.



Quatrième de couverture
     « Un recueil monumental et vraiment indispensable... Cette intégrale de nouvelles est l'avènement d'une des plus grandes carrières dans la science-fiction et mérite amplement toutes les louanges. Absolument essentiel. » Locus

     Arthur C. Clarke est l'un des grands maîtres de la SF moderne.
     Dans ce volume sont réunies 106 nouvelles, comprenant plusieurs récits inédits en français. On retrouve les classiques comme La Sentinelle (point de départ du film 2001 : l'odyssée de l'espace), Les Neuf Milliards de noms de Dieu, L'Étoile et Face-à-face avec Méduse, mais aussi des histoires moins connues qui révèlent d'autres facettes de l'auteur. Chantre de la conquête de l'espace — on a droit ici à un véritable Grand Tour du système solaire — , Clarke fut également prophète de l'ère des télécommunications universelles, explorateur des fonds sous-marins, humoriste et commentateur de l'aventure humaine dans un univers recelant encore bien des mystères.
     Un ouvrage aussi complet que définitif, qui aura sa place dans la bibliothèque de tout amoureux de la science-fiction.

     Sir Arthur C. Clarke (1917-2008) est l'auteur de science-fiction le plus lu et le plus reconnu avec Isaac Asimov. Ses romans sont devenus des classiques du genre et comptent bon nombre de chefs-d'œuvre dont le célèbre 2001 : l'odyssée de l'espace, ou Rendez-vous avec Rama. Son œuvre visionnaire et humaniste a aussi influencé d'autres grands auteurs comme Stephen Baxter, Greg Bear, Joe Haldeman, Nancy Kress, Alastair Reynolds, Robert J. Sawyer et Charles Stross.
Sommaire
Afficher les différentes éditions des textes
1 - Avant-propos (Foreword, 2000), pages 9 à 11, introduction, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
2 - Voyagez par le Fil ! (Travel By Wire!, 1937), pages 13 à 17, nouvelle, trad. Colette CARRIÈRE rév. Tom CLEGG
3 - Comment nous sommes allés sur Mars (How We Went to Mars, 1938), pages 18 à 26, nouvelle, trad. Colette CARRIÈRE rév. Tom CLEGG
4 - Retraite de la Terre (Retreat From Earth, 1938), pages 27 à 36, nouvelle, trad. Colette CARRIÈRE rév. Tom CLEGG
5 - Rêverie (Reverie, 1938), pages 37 à 39, article, trad. Colette CARRIÈRE rév. Tom CLEGG
6 - L'Éveil (The Awakening, 1942), pages 40 à 42, nouvelle, trad. Colette CARRIÈRE rév. Tom CLEGG
7 - Timbré (Whacky, 1942), pages 43 à 44, nouvelle, trad. Colette CARRIÈRE rév. Tom CLEGG
8 - Faille (Loophole, 1946), pages 45 à 51, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
9 - Expédition de secours (Rescue Party, 1946), pages 52 à 75, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
10 - Erreur technique (Technical Error / The Reversed Man, 1946), pages 76 à 91, nouvelle, trad. Adrien VEILLON rév. Tom CLEGG
11 - Naufragé (Castaway, 1947), pages 92 à 98, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
12 - Les Feux intérieurs (The Fires Within, 1947), pages 99 à 107, nouvelle, trad. Adrien VEILLON rév. Tom CLEGG
13 - La Lignée de David (Inheritance, 1947), pages 108 à 114, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
14 - La Malédiction (The Curse / Nightfall, 1946), pages 115 à 117, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
15 - Leçon d'histoire (History Lesson / Expedition to Earth, 1949), pages 118 à 125, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
16 - Le Visiteur (Transience, 1949), pages 126 à 131, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
17 - Le Mur de ténèbres (The Wall of Darkness, 1949), pages 132 à 146, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
18 - Le Lion de Comarre (The Lion of Comarre, 1949), pages 147 à 185, nouvelle, trad. Emmanuel TOLLÉ rév. Tom CLEGG
19 - L'Ennemi oublié (The Forgotten Enemy, 1948), pages 186 à 191, nouvelle, trad. Adrien VEILLON rév. Tom CLEGG
20 - Cache-cache (Hide and Seek, 1949), pages 192 à 201, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
21 - Point de rupture (Thirty Seconds - Thirty Days / Breaking Strain, 1949), pages 202 à 225, roman, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
22 - L'Épaisseur des montagnes (Exile of the Eons / Nemesis, 1950), pages 226 à 238, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
23 - Ange gardien (Guardian Angel, 1950), pages 239 à 263, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
24 - La Flèche du temps (Time's Arrow, 1950), pages 264 à 277, nouvelle, trad. Adrien VEILLON rév. Tom CLEGG
25 - Une marche dans la nuit (A Walk in the Dark, 1950), pages 278 à 286, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
26 - L'Arme du silence (Silence Please / The Secret Weapon, 1950), pages 287 à 296, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
27 - Les Indigènes sont rétifs (Trouble with the Natives / Captain Wyxtpthll's Flying Saucer / Three Men in a Flying Saucer, 1951), pages 297 à 308, nouvelle, trad. Adrien VEILLON rév. Tom CLEGG
28 - Le Sphinx au bord de la mer (Seeker of the Sphynx / The Road to the Sea, 1951), pages 309 à 348, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
29 - La Sentinelle (Sentinel of Eternity / Peak of Promise / The Sentinel, 1951), pages 349 à 357, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
30 - Vacances sur la Lune (Holiday on the Moon, 1951), pages 358 à 383, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
31 - Clair de Terre (Earthlight, 1951), pages 384 à 426, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
32 - Une aube nouvelle (Second Dawn, 1951), pages 427 à 452, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
33 - Supériorité (Superiority, 1951), pages 453 à 462, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
34 - « Si jamais je t'oublie, ô Terre » ("If I Forget Thee, Oh Earth...", 1951), pages 463 à 466, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
35 - Toute la vie devant soi (All the Time in the World, 1952), pages 467 à 477, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
36 - Les Neuf milliards de noms de Dieu (The Nine Billion Names of God, 1953), pages 478 à 484, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
37 - L'Éternel retour (The Possessed, 1953), pages 485 à 489, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
38 - Le Parasite (The Parasite, 1953), pages 490 à 500, nouvelle, trad. Adrien VEILLON rév. Tom CLEGG
39 - Jupiter Cinq (Jupiter Five, 1953), pages 501 à 528, nouvelle, trad. Adrien VEILLON rév. Tom CLEGG
40 - Rencontre à l'aube... (Encounter at Dawn / Encounter in the Dawn / Expedition to Earth, 1953), pages 529 à 538, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
41 - L'Autre tigre (The Other Tiger, 1953), pages 539 à 542, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
42 - Campagne publicitaire (Publicity Campaign, 1953), pages 543 à 547, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
43 - Course aux armements (Armaments Race, 1954), pages 548 à 554, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
44 - Les Prairies bleues (The Deep Range, 1954), pages 555 à 563, extrait de roman, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
45 - Pas de lendemain (No Morning After, 1954), pages 564 à 569, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
46 - Brevet en souffrance (Patent Pending / The Invention, 1954), pages 570 à 579, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
47 - Le Réfugié (? / Refugee / This Earth of Majesty / Royal Prerogative, 1955), pages 580 à 590, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
48 - L'Étoile (The Star, 1955), pages 591 à 596, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
49 - Pour perdre sa gravité (What Goes Up..., 1956), pages 597 à 606, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
50 - Objectif Lune (Venture to the Moon, 1956), pages 607 à 629, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
51 - Pêche au gros (Big Game Hunt / The Reckless Ones, 1956), pages 630 à 635, nouvelle, trad. Emmanuel TOLLÉ rév. Tom CLEGG
52 - Le Pacifiste (The Pacifist, 1956), pages 636 à 645, nouvelle, trad. Emmanuel TOLLÉ rév. Tom CLEGG
53 - L'Orchidée récalcitrante (The Reluctant Orchid, 1956), pages 646 à 654, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
54 - Ils hériteront de la terre (The Next Tenants, 1957), pages 655 à 662, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
55 - La Mélodie ultime (The Ultimate Melody, 1957), pages 663 à 669, nouvelle, trad. Emmanuel TOLLÉ rév. Tom CLEGG
56 - Guerre froide (Cold War, 1957), pages 670 à 676, nouvelle, trad. Emmanuel TOLLÉ rév. Tom CLEGG
57 - La Belle au bois dormant (Sleeping Beauty / The Case of the Snoring Heir, 1957), pages 677 à 685, nouvelle, trad. Emmanuel TOLLÉ rév. Tom CLEGG
58 - Par mesure de sécurité (Security Check / The Intruders, 1956), pages 686 à 690, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
59 - Le Laboureur de la mer (The Man Who Ploughed the Sea, 1957), pages 691 à 704, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
60 - Masse critique (Critical Mass, 1949), pages 705 à 710, nouvelle, trad. Emmanuel TOLLÉ rév. Tom CLEGG
61 - Et la lumière tue (Dazzled to Death / Let There Be Light, 1957), pages 711 à 716, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
62 - Mouvements spiritueux (Moving Spirit, 1957), pages 717 à 727, nouvelle, trad. Emmanuel TOLLÉ rév. Tom CLEGG
63 - La Défenestration d'Ermintrude Inch (The Defenestration of Ermintrude Inch, 1957), pages 728 à 733, nouvelle, trad. Emmanuel TOLLÉ rév. Tom CLEGG
64 - De l'autre côté du ciel (The Other Side of the Sky, 1957), pages 734 à 751, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
65 - Hors du soleil (Out of the Sun / Out from the Sun, 1958), pages 752 à 758, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
66 - Casanova cosmique (Cosmic Casanova, 1958), pages 759 à 765, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
67 - Esprit, es-tu là ? (Who's There ? / The Haunted Spacesuit, 1958), pages 766 à 770, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
68 - Les Chants de la Terre lointaine (The Songs of Distant Earth, 1958), pages 771 à 796, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
69 - Un coup de soleil bénin (The Stroke of the Sun / A Slight Case of Sunstroke, 1958), pages 797 à 803, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
70 - Hors du berceau, en éternelle orbite (Out of the Cradle, Endlessly Orbiting, 1959), pages 804 à 808, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
71 - Je me souviens de Babylone (I Remember Baylon, 1960), pages 809 à 820, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
72 - Un été sur Icare (Summertime on Icarus / The Hottest Piece of Real Estate in the Solar System, 1960), pages 821 à 830, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
73 - Question de temps (Trouble With Time / Crime on Mars, 1960), pages 831 à 836, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
74 - Dans la comète (Inside the Comet / Into the Comet, 1960), pages 837 à 846, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
75 - Saturne levant (Saturn Rising, 1961), pages 847 à 856, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
76 - La Mort et le sénateur (Death and the Senator, 1961), pages 857 à 874, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
77 - Avant l'Éden (Before Eden, 1961), pages 875 à 884, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
78 - Haine (At the End of the Orbit / Hate, 1961), pages 885 à 898, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
79 - Le Chien de la Lune (Moondog / Dog Star, 1962), pages 899 à 904, nouvelle, trad. Iawa TATE rév. Tom CLEGG
80 - Des pieds et des mains (An Ape About the House, 1962), pages 905 à 911, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
81 - Le Secret (The Secret / The Secret of the Men in the Moon, 1963), pages 912 à 917, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
82 - Le Vent qui vient du soleil (Sunjammer / The Wind from the Sun, 1964), pages 918 à 934, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
83 - La Nourriture des dieux (The Food of the Gods, 1964), pages 935 à 938, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
84 - Clartés dans l'abîme (The Shining Ones, 1964), pages 939 à 953, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
85 - Qui est à l'appareil ? (Dial "F" for Frankenstein, 1965), pages 954 à 959, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
86 - Maelström II (Maelstrom II, 1965), pages 960 à 972, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
87 - Dernières instructions (The Last Command, 1965), pages 973 à 974, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
88 - Lumière au cœur des ténèbres (The Light of Darkness, 1966), pages 975 à 979, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
89 - La Plus longue histoire de science-fiction jamais contée (The Longest Science-Fiction Story Ever Told / A Recursion in Metastories, 1966), pages 980 à 980, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
90 - Retour sur soi (Playback, 1966), pages 981 à 983, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
91 - Le Ciel impitoyable (The Cruel Sky, 1967), pages 984 à 1000, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
92 - Amour universel (Love that Universe, 1967), pages 1001 à 1004, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
93 - L'Honorable Herbert George Morley Robert Wells (Herbert George Morley Roberts Wells, Esq., 1967), pages 1005 à 1007, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
94 - Croisade (Crusade, 1968), pages 1008 à 1012, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
95 - Marée neutronique (Neutron Tide, 1970), pages 1013 à 1014, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
96 - Retrouvailles (Reunion, 1971), pages 1015 à 1016, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
97 - Transit de la Terre (Transit of Earth, 1971), pages 1017 à 1029, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
98 - Face-à-face avec Méduse (A Meeting with Medusa, 1971), pages 1030 à 1067, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
99 - L'Invasion des profanateurs de… (When the Twerms Came, 1972), pages 1068 à 1069, nouvelle, trad. George W. BARLOW rév. Tom CLEGG
100 - Quarantaine (Quarantine, 1977), pages 1070 à 1071, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
101 - esèneG (siseneG, 1984), pages 1072 à 1072, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
102 - Sur des mers dorées (On Golden Seas, 1986), pages 1073 à 1076, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
103 - Le Traitement de texte à vapeur (The Steam-Powered Word Processor, 1986), pages 1077 à 1082, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
104 - La Machine à remonter le temps à réaction (Tales from the "White Hart", 1990: The Jet-Propelled Time Machine, 1990), pages 1083 à 1083, nouvelle, trad. Emmanuel TOLLÉ rév. Tom CLEGG
105 - Le Marteau de Dieu (The Hammer of God, 1992), pages 1084 à 1095, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
106 - Stephen BAXTER & Arthur C. CLARKE, Le Continuum du Fil (The Wire Continuum, 1998), pages 1096 à 1115, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
107 - Pour améliorer le voisinage (Improving the Neighbourhood, 1999), pages 1116 à 1117, nouvelle, trad. Denise TERREL rév. Tom CLEGG
Critiques

Cette intégrale rassemble des nouvelles jusqu’ici dispersées dans 5 recueils, quelques anthologies et une poignée de revues qui ne se trouvaient plus que difficilement chez les libraires d’ancien. Au début de 21ème siècle, les nouvelles d’Arthur Clarke n’étaient plus disponibles en France… L’intégrale propose en plus 27 textes jusqu’ici inédits en France, dont une douzaine de pépites. Les exégètes remarqueront l’absence de 2 novellas,  Les montagnes hallucinogènes et Against the fall of night, ainsi que de nouvelles écrites à l’âge du lycée, autant de textes dispensables pour différentes raisons. Tout le meilleur d’Arthur Clarke est là, et même plus. Que les éditions Bragelonne soient louées  !

Le volume est considérable car Arthur Clarke est le meilleur écrivain de science-fiction à ce jour. Cette affirmation sera contestée  : qu’Arthur Clarke soit le meilleur auteur de science-fiction  ; et même que la science-fiction soit considérable... Au minimum, Arthur Clarke est un auteur qui rend la science-fiction considérable.

Continuons à agacer le fan en disant qu’Arthur Clarke est un des rares exemples d’authentique science-fiction. Proposition incontestable si on s’en tient à l’idée que dans la science-fiction, il doit y avoir de la science, et de la vraie. Arthur Clarke était respecté dans le milieu scientifique pour sa carrière de vulgarisateur (quasi-inconnue chez nous) et d’agitateur d’idées, son titre de gloire sous cet aspect étant d’avoir le premier énoncé les notions de satellites de télécommunication et d’orbite géostationnaire, ce qui n’est pas rien. Mais à la compétence scientifique Arthur Clarke ajoutait d’autres vertus, et en cela il fut grand.

L’humour, l’ironie

Cette veine a produit des nouvelles parfois très courtes, qui par conséquent n’ont pas le temps d’ennuyer… Des contes, parfois de pures blagues basées sur des effets cocasses du temps et l’espace (Casanova cosmique), mais pouvant aussi exprimer une idée morale (Campagne publicitaire), ou décrire la première expédition lunaire sous l’angle de l’anecdote (Objectif Lune). Arthur Clarke montre un registre formel étendu  : l’histoire à chute, le retournement final, la conférence burlesque, mais aussi le dialogue intérieur, voire le flux de conscience.

Cette manière d’Arthur Clarke, notamment l’usage de la chute ou du retournement final, peut aboutir au pathétique, à l’effroi, voire l’épouvante (Les Neuf Milliards de noms de Dieu). Elle s’insinuera même au cœur de nouvelles tout à fait sérieuses  : si l’Histoire est tragique, il y a aussi une ironie de l’Histoire (Dernières instructions ; L’étoile)…

L’ironie imprègne les seize textes composant Les contes du Cerf Blanc (1957), un de ses chef-d’œuvres (fragmenté ici par la présentation chronologique, mais en revanche donné en complet pour la première fois en France). Dans un pub de Londres, une fois par semaine se retrouvent des chercheurs et des auteurs de science-fiction. Un jour surgit de nulle part Harry Purvis, qui prend l’habitude de raconter les tribulations d’aventuriers de la science connues de lui-seul. On peut comprendre à travers le personnage d’Harry Purvis, qui est après tout une sorte de confrère de l’auteur, que l’humour chez Arthur Clarke était probablement une politesse vis-à-vis de deux publics  : le public très critique des scientifiques, à qui il semble dire  : «  si ce n’est pas vrai, admettez que c’est bien inventé  !  »  ; et celui des néophytes, reconnaissant qu’on lui épargne le détail des raisonnements en jeu…

Toutes les facettes d’Arthur Clarke se retrouvent dans ce recueil, qui démarrant toutes par le regard goguenard des habitués du Cerf blanc sur leur affabulateur préféré, peuvent évoluer vers le drame psychologique, l’exploration des mystères de la matière et du temps, ou les tragédies de l’Histoire. Seule facette absente  : l’espace.  En 1957, aucun humain n’est encore allé de l’autre côté du ciel…

L'aventurier spatial

Arthur Clarke fut véritablement engagé aux côtés de la poignée d’humains qui travailla à prendre pied hors de la planète (d’ailleurs la NASA n’a pas été avare en hommages à son égard, de son vivant ou à titre posthume). Bien formé et informé, dans ses textes de fiction consacrés à l’espace il décrit avec précision les conditions de vie d’outre-terre. C’est ainsi que de son propre aveu, vingt à trente pages de calculs furent nécessaires pour préparer une nouvelle qui n’en contiendra aucune trace visible. Précision, et sensibilité  : savez-vous que les orages sur Jupiter font un bruit aigu, à cause de la moindre densité de l’atmosphère  ? L’espace comme si vous y étiez.

Ces textes sont des transpositions, plus ou moins altérées par les rudes conditions de là-haut, de genres de récits éprouvés ici-bas  : aventures maritimes, récits de guerre, récits d’explorateurs, western, chroniques, polar  ; une investigation par tous les moyens littéraires de la vie dans l’espace. Arthur Clarke aurait pu écrire le film Gravity, mais ce film n’est somme toute qu’une attraction foraine, alors que de la lecture d’Arthur Clarke on ressort souvent grandi, convaincu, comme lui-même l’était, que l’exploration spatiale prélude un nouvel âge de l’humanité.

L'historien tragique

Arthur Clarke a été un acteur de l’Histoire. En tant qu’officier radar, au cœur de la défense aérienne du Royaume-Uni durant la Seconde Guerre mondiale, il fit partie de cette poignée d’individus qui en ont sauvé tant d’autres, sans commune mesure dans l’histoire militaire (pour reprendre Winston Churchill). Une guerre où l’intelligence et l’ingénierie ont été déterminantes, voilà bien un thème clarkien.

La Seconde Guerre, c’est aussi la fin d’un monde, plus exactement celle de l’Empire Britannique. «  Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles  », comme déjà l’écrivait Paul Valéry en 1924, après la Première. Peut-être aussi la fin du monde, perspective très concrète contenue dans la bombe atomique. Dans ce monde vacillant, Arthur Clarke envisage l’Histoire à une échelle plus large qu’une catastrophe politique, plus large même qu’une civilisation, c’est à l’échelle de l’espèce que ça se joue.

Il y a chez Arthur Clarke un attrait pour les fins, qui nous valent parmi ses textes les plus poignants, où il nous rend sensible l’épaisseur du temps par la mélancolie des choses enfuies dans le ressac des générations, l’immensité du temps et de l’espace. Quelles autres littératures que la science-fiction, et parfois la faërie, héritières de l’épopée, permettent cette hauteur de vue  ?

Le visiteur (Transience) est le prototype de cette veine, où Arthur Clarke réussit la conjonction de tableaux finement brossés et d’ellipses narratives franchissant des dizaines de millénaires.

Arthur Clarke n’a jamais douté que l’instinct de conservation et l’esprit de conquête permettront à l’humanité de franchir les épreuves, fut-ce in extremis. Il a même parfois cédé à la tentation de considérer comme réglés les principaux problèmes de l’humanité et d’échafauder de vagues utopies. Ce ne sont pas des textes passionnants : si le destin de l’humanité est tracé, alors il ne reste rien à raconter, sinon des péripéties secondaires. En témoignent Le Lion de Commarre, ou le roman Les enfants d’Icare (développement de la nouvelle Ange gardien, sauvée – elle – par un peu d’espièglerie). C’est là qu’Arthur Clarke s’est attiré cette avis à double-tranchant  : «  Plus qu’aucun autre auteur de S-F, Clarke est resté fidèle au rêve de l’enfant qui voit dans la science le salut de l’humanité et dans l’humanité une race de dieux potentiels, voués aux étoiles  » (Brian Aldiss). Mais en vérité, il est assez peu question de salut ou de Dieu dans les nouvelles d’Arthur Clarke, ni même de ses avatars, extraterrestres ou autres. Chez Arthur Clarke il est plus question de fascination face au silence éternel des espaces infinis, ou de ce qu’il faut préserver face aux catastrophes de l’Histoire, en somme il est plus question de sacré que de Dieu. Il ne se prenait pas pour un prophète  : car finalement les étendues où se déploient l’humanité désormais sont surtout faites de mystères…

Le sens du mystère

Des forces agissent dans le monde, venues de très loin dans le temps ou l’espace, ou cachées dans la trame du réel. Quelques aventuriers de la science, plus ou moins bien inspirés, en font l’expérience dans ces nouvelles, souvent à leurs dépens. Les portes du mystère ne se franchissent pas si aisément.

Hors de la Terre, le mystère s’offre partout au regard, avec les puissances effrayantes et majestueuses du cosmos. Et qui sait, intelligentes… C’est là le grand mystère pour Arthur Clarke, qui à la fin de sa vie espérait encore que vienne la preuve d’une intelligence d’outre-terre. D’autres formes d’intelligence, plus accessibles, ont aussi intéressé Arthur Clarke  : les insectes, les créatures marines, les singes  ; qui pourraient, un jour, prendre le relais de l’intelligence dans l’univers.

L’effroi n’est pas loin, et d’ailleurs Arthur Clarke a commis durant sa jeunesse une parodie de H. P. Lovecraft, le prophète des divinités épouvantables. Il s’est colleté à la vision d’un univers où l’humanité occupe une place dérisoire  («  s’il y a quelque dieu ayant l’humanité pour principal souci, il ne doit pas être un dieu très important  ») ; où la science rend l’humanité adulte, mais avec tout les dilemmes, la solitude et les angoisses de l’adulte… Comme premier remède à l’angoisse  : l’humour. Ainsi qu’un peu de technique : les comètes sont monstrueuses, mais on peut les chevaucher. Néanmoins, gare aux pannes d’ordinateurs. Dès lors, la jugeote devra prendre le relais…

Le psychologue, le moraliste

Une réserve courante sur l’œuvre d’Arthur Clarke serait son incapacité à rendre vivants ses personnages. Il est vrai qu’il resserre rarement le point de vue sur son personnage, la perspective est plus vaste, omnisciente. La situation domine (néanmoins elle peut être bouleversante).

Dans quelques récits, souvent écrits pour le magazine «  Playboy  », le point de vue se resserre et il se fait très classique, décrivant au plus près la situation et ses protagonistes. Ce sont souvent des situations de tension extrême. Lire «  Haine  » ou «  Transit de la Terre  » et continuer à penser qu’Arthur Clarke est un poisson froid est impossible.

Certes il n’était pas porté au lyrisme, ou au romantisme si on veut. Question de génération, peut-être. Arthur Clarke est né en 1917  : faire l’apprentissage du monde entre deux guerres mondiales et dans une grande dépression économique peut détourner de l’effusion des sentiments quand la survie collective est en jeu.

Mais il était un moraliste. Quelques-unes de ses maximes sont devenues «  les lois de Clarke  »  ; par exemple  : «  La seule façon de découvrir les limites du possible, c'est de s'aventurer un peu au-delà, dans l'impossible  » (Profiles of the future, recueil d’articles). Le moraliste avait pour sujet l’impact du savoir d’un point de vue philosophique, intellectuel, culturel. Vertu perdue  dans la science-fiction : les générations suivantes s’enivreront surtout de prouesses et de cauchemars technologiques. De science en tant que savoir, il ne sera plus tellement question…

Rendez-vous avec Arthur Clarke

Avant ce recueil, les nouvelles d’Arthur Clarke ont été longtemps indisponibles en France. Son souvenir s’est estompé. On ne l’a plus connu que par ses nombreux romans des dernières années, écrits en collaboration, sans doute pour honorer des contrats qui lui permettaient de financer ses autres activités. Malade, l’énergie n’y était plus. Le cœur non plus, peut-être. Comme il arriva à Voltaire dans son domaine de Ferney, durant les 20 dernières années de sa vie Arthur Clarke s’est surtout consacré au Sri Lanka qui l’avait adopté.

De surcroît, la Nouvelle Vague de la SF est passée par là (Robert Silverberg, James Ballard, Philip K. Dick…), surtout inspirée par Franz Kafka ou les surréalistes, suivie par la génération punk (cyber’ et steam’). Ces auteurs ont réfuté autant qu’ils pouvaient la vision du monde d’Arthur Clarke, rationaliste, humaniste, libérale, pour s’attarder sur son ombre portée, «  les espaces intérieurs  », le déploiement d’une techno-science sans âme, une société disloquée et des individus centrés sur leurs appétits. Pour ceux qui ont commencé à lire de la science-fiction dans les années 90, la déférence à Arthur Clarke est sans doute incompréhensible.

Pourtant, il n’a jamais été dépassé. Il serait même heureux qu’il soit simplement rattrapé. On aimerait trouver «  une nouvelle littérature idéaliste et bienveillante qui serait moderne non seulement technologiquement mais aussi émotionnellement. Elle montrerait le prix à payer pour résoudre nos problèmes  ; elle montrerait l’ordinateur non comme un ennemi ou un dieu, mais comme un outil pour l’humanité.  » (Lewis Shiner, 1991  : http://www.lewisshiner.com/liberation/cyberpunk.html ). On aimerait trouver un nouvel Arthur Clarke. Puisse ce monolithe publié par les éditions Bragelonne constituer une nouvelle porte vers les étoiles.

 

Sylvain FONTAINE
Première parution : 22/3/2021 nooSFere


            Décidément, les éditions Bragelonne aiment Arthur C. Clarke. Après avoir inscrit une partie de sa production romanesque au catalogue Milady, elles publient aujourd’hui Odyssées, un pavé de plus de mille pages réunissant l’intégralité de ses nouvelles, soit une centaine de textes parus sur une période de soixante ans.

            Le premier intérêt d’un tel travail éditorial est de mettre en lumière l’évolution de l’auteur au fil du temps ainsi que les grandes tendances de son œuvre. La passion initiale de Clarke aura été la conquête de l’espace, qu’il n’a jamais cessé de mettre en scène, de la manière la plus variée et la plus réaliste possible. De la vie à bord d’une station spatiale à l’exploration des autres planètes du système solaire et au-delà, l’auteur s’est évertué à convaincre ses contemporains de la faisabilité d’un tel challenge, mais aussi de sa nécessité. Car au-delà des aspects techniques de cette conquête, elle pose la question de la place de l’homme dans l’univers. Et ce sont justement les questionnements métaphysiques de Clarke qui donnent naissance à ses meilleures nouvelles, parmi lesquelles « La Sentinelle », texte dont l’idée centrale sera reprise dans 2001, Odyssée de l’espace, ou « L’Éternel Retour », dont le récit se déroule sur des dizaines de millions d’années.

            Dans le même ordre d’idées, la rencontre avec l’Autre occupe une place prépondérante dans l’œuvre d’Arthur C. Clarke, et il est rare qu’elle dégénère en conflit. Au contraire, l’écrivain n’a de cesse de mettre en scène la collaboration entre des espèces que tout oppose à priori, comme dans « Une Aube nouvelle » ou « Rencontre à l’Aube », pour ne citer que les plus connus. À l’inverse de toute une école de science-fiction dans les années 50, l’extraterrestre chez Clarke est bien plus volontiers une source de fascination, voire de beauté, que d’effroi.

            Odyssées permet également de revenir aux sources de l’œuvre romanesque de l’auteur. Certaines nouvelles ont par la suite été directement incorporées au sein de romans, d’autres contiennent en germe les idées qu’il développera plus tard. Ainsi, bien avant de visiter Rama, ses personnages se retrouvaient face à des artefacts dont la conception défie l’entendement, qu’il s’agisse d’un gigantesque mur coupant un monde en deux (« Le Mur des ténèbres », 1949) ou d’une lune qui s’avère être un vaisseau spatial (« Jupiter Cinq », 1953).

            Ceci dit, toutes les nouvelles au sommaire d’Odyssées ne sont pas bonnes. Un bon nombre d’entre elles ne sont au mieux qu’anecdotiques, notamment toutes celles prenant pour cadre le White Hart, ce pub où se réunissent écrivains et scientifiques pour se raconter d’improbables histoires d’inventions plus farfelues les unes que les autres. De même, parmi les textes qui étaient restés inédits jusqu’à ce jour, on cherchera en vain un chef-d’œuvre oublié. Le plus intéressant est sans doute « Le Continuum du fil », qui date de 1998 et qui reprend en la modernisant une idée que Clarke développait dans sa toute première nouvelle, parue soixante ans plus tôt, mais le crédit de ce récit revient avant tout à Stephen Baxter, qui le cosigne.

            Au final, à la lecture de ces mille et quelques pages, il ressort et se confirme qu’Arthur C. Clarke ne figurait sans doute pas parmi les meilleurs nouvellistes du domaine, mais qu’il était et demeure encore aujourd’hui l’une des figures majeures de la science-fiction.

Philippe BOULIER
Première parution : 1/4/2014 dans Bifrost 74
Mise en ligne le : 28/3/2020

Prix obtenus par des textes au sommaire
Comment nous sommes allés sur Mars : Retro Hugos nouvelle / Short story, 1939
L'Étoile : Hugo nouvelle / Short story, 1956
Les Neuf milliards de noms de Dieu : Retro Hugos nouvelle / Short story, 1954
Rendez-vous avec Méduse : Nebula novella / Court roman, 1972

Adaptations (cinéma, télévision, BD, théâtre, radio, jeu vidéo...)
All the Time in the World , 1952, Don Medford (d'après le texte : Toute la vie devant soi), (épisode d'une série TV)
2001 l'odyssée de l'espace , 1968, Stanley Kubrick (d'après le texte : La Sentinelle)
La Cinquième dimension ( Saison 1 - Episode 32 : L'étoile du berger ) , 1985, Gerd Oswald (d'après le texte : L'Étoile), (Episode Série TV)
Asteroïd , 1994, Arthur Allan Seidelman (d'après le texte : Point de rupture)

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