Jeux
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Les passionnés de jeux lisent souvent de la SF. Pourquoi ? Peut-être parce que la science-fiction est un jeu.
Les littératures de fantasy, fantastique et de science-fiction sont une source d'inspiration inépuisable pour les jeux de rôles, les jeux vidéo, les jeux de plateau ou de cartes à collectionner. Il est juste qu'en retour les jeux inspirent la SF.
Le jeu peut tenir dans les romans des rôles très différents. Les jeux de réflexion exaltent la rigueur intellectuelle, alors que les jeux de hasard symbolisent le destin. Dans d'autres cas le jeu est perçu comme un vice : il détourne l'homme de ses devoirs et n'est donc acceptable que chez l'enfant. Enfin il est parfois doté d'un pouvoir surnaturel, tel le tarot divinatoire.
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Jumanji
(Jumanji) de Joe Johnston (1995)
Du pain et des jeux
Le jeu est aussi un bon moyen de canaliser l'énergie du peuple afin d'éviter qu'il ne se révolte.
Rollerball
(Rollerball) de Norman Jewison (1975)
Jeux cruels
Les perdants y laissent leur vie.
Le Prix du danger
de Yves Boisset (1983)
Running Man (The)
(Running Man (The)) de Paul Michael Glaser (1987)
Simple mortel, de Pierre Jolivet (1991)
Jeux vidéo
Tron
(Tron) de Steven Lisberger (1982)
WarGames, de John Badham (1983)
Nirvana, de Gabriele Salvatores (1997)
eXistenZ
(eXistenZ) de David Cronenberg (1999)
Mondes dirigés par le jeu
Une planète entière est sous l'emprise de la folie du jeu. Il sélectionne le dirigeant de la planète, soit par une loterie, soit à l'issue d'un tournoi de jeux de réflexion. Bien entendu, les gagnants sont souvent ceux qui trichent le mieux.
Quintet, de Robert Altman (1979)
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