Encyclopédie Infos & Actu Recherche Association Sites hébergés
Bienvenue sur le site nooSFere.
Le javascript est nécessaire à l'affichage du menu dynamique.

Recherche rapide
    nooSFere > Encyclopédie > Bandes dessinées
Connexion adhérent
Album
K. Os
Série : Pierre Tombal    Album précédent tome 21  Album suivant

Scénario : CAUVIN
Dessins : Marc HARDY
Couleurs : LEONARDO

Dupuis , octobre 2003
 
Cartonné
48  pages  Couleurs
ISBN 2-8001-3355-4
 
Communiqué éditeur
     Morts de rire !
     Être enterré au cimetière de Pierre Tombal n'est pas toujours de tout repos : entre les squelettes qui refusent de savourer cette nouvelle tranquilité, ceux qui cherchent à arrondir leurs fins de mois en trouvant un petit boulot et les sempiternels râleurs, le fossoyeur le plus célèbre de la BD n'est pas prêt de connaître un repos éternel (et c'est tant mieux pour ses lecteurs) !
     Les auteurs
     Marc Hardy est un garçon entièrement dévoué à son travail ! On peut le croiser, parfois, dans les cimetières les plus lugubres, à travailler sur le nouvel album de « Pierre Tombal ». Véritable virtuose du dessin, aussi à l'aise dans le noir et blanc que dans la couleur directe, il met toute l'énergie et le dynamisme de son trait au service des gags de Raoul Cauvin. Toujours très en verve, ce grand scénariste aux multiples talents se permet d'aborder avec cette série des thèmes plus polémiques, mais toujours avec l'humour et la générosité qui le caractérisent. Fossoyeurs mais vrais comiques, ils enterrent les idées toutes faites et déterrent, par morts interposés, les petits travers humains et les gros défauts de notre société qui pousse à la consommation même après la mort !
 
Critiques
     Revoilà le fossoyeur le plus célèbre de la BD dans son 21ème opus. Le mégot toujours bien accroché à sa lèvre inférieure, Pierre continue à nous faire part de ses expériences et à nous ravir de ses histoires tout aussi ubuesques que sagaces sur les travers du genre humain.
     Fin mélange de sarcasme, d'humour, de mauvais goût, de vérités patentes sur notre société, le scénario de Cauvin flirte toujours avec le blasphème ou le dérisoire, voir l'autodérisoire en n'hésitant pas à se mettre en scène. Régal assuré pour qui veut bien se laisser aller à l'enchaînement des gags tranquillement comme autant de tranches de vies — ou de morts dans le cas présent — croqués par un Marc Hardy très à l'aise et dont les cases ne sont pas sans rappeler celles de Franquin et de son Gaston Lagaffe.

Fabrice Fauconnier          
nooSFere          
20/10/2003          


.
Écrire aux webmestres       © nooSFere, 1999-2025