Toujours ces mutants gentillets à oreilles et moustaches de chat, toujours ce dessin raide et pâteux, ces couleurs trop plaquées, ces efforts pour ressembler à du Schuiten sans être Schuiten. Et toujours ce monde post-catastrophe où il ne se passe pas grand'chose. Pourquoi un des thèmes les plus riches de la SF est-il tombé dans la niaiserie, depuis quelques années ? (cf. Auclair).
Jean-Pierre Andrevon Fiction n°412 01/02/1990
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