Première Guerre Mondiale. Van Gogh n'est pas mort, comme on nous l'a fait croire, mais a été mis à l'écart par le gouvernement pour avoir fait échouer une mission d'infiltration chez les cubistes. Le voilà envoyé au front pour peindre cet « esprit de la guerre » que ne comprend pas le Président du Conseil... A un humour efficace (Van Gogh en dur à cuire, réflexions incongrues sur l'art, la guerre) succède bientôt l'horreur des tranchées, puis un fantastique surréaliste. Larcenet est grand, et là encore. (note : Oulà ! ! yamaxibon, ça !)
Philippe Heurtel Bifrost n°35 01/07/2004 Mise en ligne le 01/09/2005
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