Depuis l'accident, je ne me souviens plus de rien.
Je sais juste que je m'appelle Anna.
Tout est blanc, beau, léger autour de moi.
Pourtant, je sens qu'il y a quelque chose qui ne va pas.
Que je suis en danger.
Il faut que je me souvienne.
Vous sortez de ce roman comme d'une anesthésie,
groggy, chancelant, troublé. Ce « Bal de Givre »
vous fera valser jusqu'à en perdre la tête.
Stephan de Pasquale, Laissez-vous tenter