Quatrième de couverture
J'ai toujours rêvé de rencontrer un extraterrestre ! Et voilà que Pleskit débarque dans ma classe ! Je suis maintenant ami avec une sorte d'être violet et chauve, à la tête couronnée d'une tige. En plus, il exprime ses sentiments par des pets et des rots. Le bonheur absolu, quoi ! Malheureusement, tout le monde n'est pas de cet avis...
Critiques
(critique de Super, Pleskit débarque !, de La Prof a rétréci ! et de Où est le cerveau du grand-père ?) Bruce Coville, grand spécialiste des extraterrestres (voir dans la même collection la série des Mon prof est un extraterrestre) récidive dans la veine humoristique qui le caractérise avec une nouvelle série d'ET gentils. Voici que les premiers Loum-louriens débarquent sur terre et installent leur ambassade dans la petite ville de Syracuse. Tim, passionné par le sujet, est ravi car le fils de l'ambassadeur fréquentera sa propre classe. A priori, Pleskit, le Loum-lourien, et Tim, le Terrien, n'ont pas grand chose en commun. Pourtant, ils deviennent de vrais amis en apprenant peu à peu à respecter leurs différences et deviennent le duo le plus gaffeur de l'histoire. Ensemble, ils pourchassent les ennemis du projet d'alliance mené par l'ambassadeur, créent de beaux incidents diplomatiques, rétrécissent leur maîtresse d'école à l'aide d'un compacteur de molécules, goûtent à leurs spécialités culinaires respectives et égarent le cerveau du Grand-Paternel de Pleskit, que ce dernier avait amené en promenade à l'école. Chacun apprend le langage et la culture de l'autre et Pleskit finira, après bien des mésaventures, par trouver la vie de Terrien plutôt « cool ». Bref, nos jeunes lecteurs amateurs d'humour et de vérité venue d'ailleurs suivront avec grand plaisir les aventures d'un duo explosif. Pour nos linguistes amateurs, précisons qu'un lexique loum-lourien figure en fin de chaque volume. A partir de 9, 10 ans et jusqu'en 5ème. Catherine GENTILE (lui écrire) Critique déjà parue sur ce site Parution sur nooSFere : 1/1/2002 InterCDI 175 Mise en ligne le : 1/3/2002
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