Roman constitué à partir de trois nouvelles précédemment publiées indépendamment. Pour l'édition française, le livre se présente comme un roman, dont le seul titre original mentionné dans l'ouvrage est bien celui du roman ("The Burning"), même si les nouvelles apparaissent au travers des titres des parties donnés dans la table des matières en fin d'ouvrage.
L'illustrateur n'est pas mentionné dans l'ouvrage, seul l'atelier Pascal Vercken l'est. L'illustration reprend celle en couverture de "The Year's Best Horror Stories: Series III" (DAW Books, 1975).
L'appel à une vengeance sanglante s'éleva dans le monde entier. Les peuples avaient été soumis trop longtemps au pouvoir de la science. Maintenant ils exigeaient leur liberté, même au prix de la barbarie... même s'il leur fallait tuer tout homme dont le savoir menaçait leur ignorance.
Hier John Wilson était un grand savant admiré... maintenant c'était un hors-la-loi, un fugitif, un homme traqué.
Son intelligence était le signe ineffaçable de sa culpabilité et son unique et fragile chance de survie.
James E. Gunn né en 1923, dans une famille vouée à l'édition, fut entre autres journaliste, professeur d'anglais, auteur d'une thèse sur la S.F. et administrateur de l'université du Kansas. C'est sans doute ce qui l'inspira pour cet Holocauste dont les trois parties parurent respectivement en 1956, 1969, 1972, ce qui explique que l'ombre de Mac Carthy plane sur une partie du livre.
1 - Les Sorciers doivent brûler (Witches Must Burn, 1956), pages 9 à 80, nouvelle, trad. Mary ROSENTHAL 2 - L'Épreuve du feu (Trial by Fire, 1969), pages 83 à 163, nouvelle, trad. Mary ROSENTHAL 3 - La Chasse aux sorciers (Witch Hunt, 1969), pages 167 à 249, nouvelle, trad. Mary ROSENTHAL