Quatrième de couverture
Mais par quelle arrogance aveugle nous autres humains nous arrogeons-nous le droit d'avoir des sentiments et dénions-nous ce droit à toute autre forme de vie ! Si les ordinateurs n'acquéraient pas des sentiments, comme le primate devenu homme les a acquis, toute logique, toute science et toute raison cesseraient d'exister !
Kenneth Bulmer est un des animateurs du « fandom » anglais et un habitué des Conventions où il porte la bonne parole. Il est encore peu connu en France, Avec « La Cité folle » comme avec « Les Hommes de l'Apocalypse » parus dans « Galaxie », il traite de sujets, qui, sans négliger l'attrait de l'intrigue, abordent des problèmes plus proches de nous et sur un ton plus grave.
Jacques Van Herp.
Critiques
Une vague et morne histoire de trusts en concurrence pour l'automatisation des villes, et qu'une révolte de leurs robots devenus trop intelligents met d'accord en faisant table rase. On dirait que l'auteur a lu Les humanoïdes de Williamson, Colossus de D. F. Jones et Un homme contre la ville de Robert Abernathy, et qu'il a voulu en faire une synthèse à la va-comme-je-te — pousse. Le moins qu'on puisse dire est que le cœur n'y est pas, et le talent non plus. On pouvait attendre mieux de l'auteur de Verte destinée... Jean-Pierre ANDREVON (lui écrire) (site web) Première parution : 1/11/1975 dans Fiction 263 Mise en ligne le : 17/12/2014
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