Quatrième de couverture
Frapper à la porte de la mort avant que celle-ci ne cogne à la nôtre ; une curiosité sans fin...
Alexandre Tarrieu a mené cette visite à l'improviste au cœur des zones en clair et en obscur de l'œuvre de Jules Verne. La mort s'y révèle très présente et bien plus féconde que faucheuse.
Effondrements et catastrophes, suicides, catafalques et linceuls, fantômes, au fil du temps sont au rendez-vous tandis que les illustrations originales subliment avec style le thème redouté et lui confèrent une esthétique explosive, une expression sans fard.
La mort se laisse surprendre et, comme l'ombre souligne la lumière, elle révèle par contraste toute la vivacité de l'œuvre.
À LA VIE, À LA MORT !
Le Centre international Jules Verne propose en couverture une œuvre contemporaine. Erika Kuhn vit à Mexico. Elle inscrit son quotidien sur doubles-pages dans de petits carnets. Ce sont des voyages infinis où les oiseaux transportent ses émotions entre Eros et Thanatos. À la mine et au pinceau, son journal inspire et l'imagination s'envole, respire.
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