Quatrième de couverture
Après « Les habits noirs » et « Les mystères de Londres », on aurait pu croire épuisée la veine des sociétés secrètes. C'est mal connaître Paul Féval, qui renouvelle le sujet avec un brio incroyable, parvenant même à accrocher son lecteur mieux encore, à certains égards, que dans les deux autres ouvrages. C'est qu'il connaît particulièrement l'Italie, où il a vécu longtemps, et cela lui permet de tracer d'inoubliables portraits de grands seigneurs, de dames, de bandits, dans les décors misérables de la Calabre aussi bien qu'à la cour prestigieuse du Roi de Naples.
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