Quatrième de couverture
J'ai perdu ma femme il y a deux ans. Je passerai ici sur la litanie des sentiments qui furent les miens à sa mort, car, bien que douloureux, le deuil fut bref. Le temps pour moi de réaliser que nous n'avions rien partagé sinon des banalités, et la bagatelle. Son image s'est très vite effacée. Je n'avais pas dû l'aimer. Je supposai qu'elle ne m'avait pas aimé davantage. Nous avions eu de l'affection l'un pour l'autre. Je pris conscience de tout ceci quelques mois après son décès...
|