Voici enfin le dossier consacré à Michel Jeury qu'Espaces Libres nous promettait depuis près d'un an..
Malgré la période difficile que nous avons traversée de janvier à mai 80, nous avons tenu nos engagements vis à vis de nos lecteurs. A eux de jouer en parlant de ce numéro autour d'eux, en nous amenant de nouveaux abonnés...
Cette couverture n'évoque-t-elle pas la salle des phords de Garichankar et la chronolyse ?
Elle démontre en tout cas la maîtrise graphique de notre collaborateur Jean-Luc Vandenbergh. Et vous avez de la chance : il nous a promis une abondante production pour la rentrée scolaire...
C'est Dominique Warfa qui a hérité de la lourde tâche d'analyser les tendances profondes de l'oeuvre de Jeury.
Sans être d'accord avec tout ce qu'il dit ici, j'avoue qu'il s'en est plutôt bien tiré et qu'il nous a fourni un travail très intéressant.
Gérard Coisne a joué les rats de bibliothèque pour nous fournir une bibliographie presque exhaustive... Je me suis contenté d'actualiser avec les parutions des huit derniers mois.
Le rédacteur en chef devait lui aussi proposer un article ; il l'a fait mais il n'y a plus de place : les autres ont tout pris !
Ne soyez pas soulagés pour autant, vous n'y couperez pas : ça figurera dans le n° 10,
L'infâme individu ne s'en est pas tenu là : il a profité de la franchise et de la gentillesse de Michel Jeury pour le faire « tout avouer » au cours d'un interview malveillant... Ce qui prouve qu'il suffit de poser les bonnes questions pour avoir des aveux complets !
La BD annoncée dans notre numéro 8 est faite ; mieux : elle est tirée en offset. Reportée au n° 10 : vous voyez qu'il faut vous abonner.
Ah oui, j'allais oublier ! On a reçu une nouvelle intitulée « le village mauve » accompagnée d'un petit mot qui disait en substance : « s'il vous reste une petite place dans Espaces Libres... »
L'auteur ? Un certain Michel Jeury !
En plus, nos échos SF et nos critiques de livres ; trois pages et demi pour les rares parutions d'été. Bonne lecture.