« C’est par le roman que la Préhistoire est entrée dans la littérature. N’est-elle pas le plus passionnant des romans ? Le roman préhistorique constitue un genre nouveau, qui occupe une place honorable parmi les productions de la littérature contemporaine. » Gérard de Lacaze-Duthiers, 1931
Poésie, humour, amour et érotisme sont au rendez-vous de ce nouveau volume des Vestiges d’un monde antédiluvien.
Face à un diplodocus, « le dernier spécimen d’une race éteinte », l’homme doit se surpasser ; face au monde moderne, « les animaux du déluge » doivent à leur tour s’adapter.
Nos auteurs imaginent des situations poignantes, parfois cocasses, et laissent parler librement leur imagination.
Auteur incontournable, lorsque l’on aborde le récit préhistorique, J.-H. Rosny aîné nous décrit « L’Ancêtre des Ancêtres » : « l’auteur n’a pas renoncé à exposer ses vues personnelles sur telle ou telle question controversée, et à émettre des hypothèses ingénieuses pouvant servir la science. »
Notre sélection vous propose, au travers de ces sept textes inédits en volume, des vues très personnelles sur les âges farouches.
1 - Pierre DELAGE, Ils ont disparu il y a bien longtemps... ou pas !, pages 3 à 4, préface 2 - Marie CASSABOIS, Ancêtres, pages 5 à 6, poésie 3 - Joseph-Henri ROSNY aîné, L'Ancêtre des Ancêtres, pages 7 à 10, article 4 - Louis de FELSEN, À l'aube des Âges, pages 11 à 16, nouvelle, illustré par (non mentionné) 5 - G. POULIN, Le Dernier Diplodocus dans l'ancien Eldorado, pages 17 à 20, nouvelle, illustré par (non mentionné) 6 - Alexandre SCHÛRR, La Dernière cité lacustre, pages 21 à 41, nouvelle 7 - Marcel HERVIEU, Préhistoire ménagère, pages 42 à 44, article 8 - ANONYME, Si les animaux du déluge existaient encore, pages 45 à 47, article, illustré par (non mentionné)