La Peur est d'essence divine. Sans elle les espaces hyper-géométriques seraient vides de Dieux et d'Esprits. Si elle ne peut que vous tordre les entrailles, sans vous laisser dans la bouche un goût de vin de flammes, si elle vous est sans volupté, si elle n'éveille en vous ni frisson de grande joie, ni sentiment de troublante gratitude, n'ouvrez pas ce livre noir des merveilles qu'est « La cave aux crapauds ».
1 - Jean RAY, Préface, pages 5 à 11, préface 2 - Le Péril, pages 13 à 44, nouvelle 3 - Du même bord, pages 45 à 60, nouvelle 4 - Non-lieu, pages 61 à 78, nouvelle 5 - La Maquette de cire vierge, pages 79 à 96, nouvelle 6 - Tu es poussière..., pages 97 à 112, nouvelle 7 - L'Épervier, pages 113 à 128, nouvelle 8 - Le Destin des mains, pages 129 à 155, nouvelle 9 - 15. 12. 38., pages 157 à 172, nouvelle 10 - Le Manteau bleu, pages 173 à 189, nouvelle 11 - Une aile de papillon mort, pages 191 à 198, nouvelle 12 - La Cave aux crapauds, pages 199 à 312, recueil de nouvelles 13 - La Cave aux crapauds, pages 200 à 211, nouvelle 14 - La Présence désolée, pages 213 à 221, nouvelle 15 - La Princesse vous demande, pages 223 à 234, nouvelle 16 - Ma cousine, pages 235 à 244, nouvelle 17 - Le Châtelain, pages 245 à 256, nouvelle 18 - Dans la maison vide, pages 257 à 267, nouvelle 19 - Père et fille, pages 269 à 284, nouvelle 20 - Elfriede, pages 285 à 289, nouvelle 21 - Le Serpent bleu, pages 291 à 293, nouvelle 22 - Le Testament de M. Breggins, pages 295 à 311, nouvelle