Quatrième de couverture
Un roman de fantasy burlesque loin des sagas classiques d’heroic fantasy, ça vous tente ? Au menu, vous avez notamment droit à : un dragon, des orcs, des nains, une elfe, deux liches, des fées ivrognes, des dryades, des diablotins, une belle sorcière et tout un tas d’homos lourdos (nouvelle évolution de l’espèce humaine). Ce monde reprend des éléments de la fantasy classique ainsi que certains éléments de notre monde moderne comme, par exemple, les procédures administratives ou les légendaires techniques de drague des hommes. Les héros sont deux adolescents qui partent à l’aventure pour la première fois de leur vie. Au départ, on pourrait presque les qualifier d’antihéros puisque l’un est surnommé « le nabot » et l’autre, aussi épais qu’une allumette, porte une robe. Le nabot en question est un guerrier orc du nom de Narwick. Le gringalet est un mage humain (c’est soi-disant pour ça qu’il porte une robe...) et se nomme Asnaroth. Ces deux meilleurs amis feront tout pour tenter de sauver leurs royaumes respectifs de puissantes liches. Pendant ce temps, le roi de Karnola, un idiot misogyne notoire, se la coule douce. Il faut bien profiter des avantages d’être roi, non ? C’est pourquoi le seigneur Vissone passe ses journées dans son modeste château en compagnie d’une cohorte de magnifiques soubrettes, sans oublier les fichtreriens (des ersatz de philosophes cherchant le pourquoi du comment du monde) dont il supervise les conférences à l’occasion. Égocentrique au possible, il ne verra pas venir le danger...
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