« FUGUE » est construite comme une pièce de musique de ce nom et englobe également l'autre signification qui est la disparition, avec la notion de la boucle étrange qui se produit à la suite d'une élévation (ou d'une descente) lorsqu'on se retrouve au point de départ.
A l'intérieur, on commence par un clin d'oeil à l'Astrologie Chinoise lors du voyage initiatique de l'héroïne, en passant par le problème des ponts d'Euler (1759), transposé aux ponts de Paris. Ce problème nécessite un dessin, d'où l'idée d'insérer les autres dessins.
D'autres jeux de mots et d'esprit : au moins trois contrepèteries, une petite histoire qui « se mord la queue » sur la pierre tombale, le paradoxe de Saint-Pétersbourg et celui « du menteur », les méta-grammes, le labyrinthe, le problème du trésor cathare, l'histoire de « tsunami », invitent le lecteur à réfléchir, ou simplement à déguster la musique de la langue française.
Une idée sur l'Unité de la structure de la réalité, trouvée grâce au langage APL, inventé par Monsieur Kenneth E. Iverson, et aux recherches de Monsieur Gérard Langlet, aujourd'hui disparu, sans oublier toute la recherche fondamentale moderne, est exprimée de manière ludique.
« Fugue » est inspirée par Lewis Caroll, Antoine de Saint Exupéry, Douglas Hofstadter et certainement d'autres livres qui ont marqué l'imagination de l'auteyr.