« Le temps fuit, irréparabke. Il ne peut être immobile. Lorsqu'il s'arrête, c'est l'achronie. »

     Or, ce 24 mai 2006, un vendredi, à onze heures, vingt-sept minutes, trente-quatre secondes, le temps s'arrête. Scinetifiques et poètes, vivants ou fantômes de notre histoire, convoqués par le professeur Jean Bernard, vont se pencher sur ce phénomène inédit et sur la diversité de ses manifestations.

     A mi-chemin entre science-fiction et conte philosophique, cette fable illustre les méditations d'un grand savant — doublé d'un homme de culture — sur la place de l'homme dans l'univers.