Quatrième de couverture
Jean Ray – John Flanders inquiète, tout en décochant une œillade complice. Ça rassure et laisse un espoir. Par contre, Michaël Grayn (notre photo) inquiète totalement. On a l'impression, en le lisant, qu'il n'y a pas moyen de sortir de la mélasse. Et là, je pense particulièrement à sa nouvelle « Puppet-Show », ainsi qu'à une autre intitulée « Le Déménageur ». En terminant un récit de Jean Ray – John Flanders, on parvient souvent et assez facilement à se dire que ce n'était qu'une histoire, même si l'on est toujours un peu sous le coup de l'angoisse. Avec Michaël Grayn, c'est presque impossible. L'odeur de soufre qui se dégage de chacune des pages de son œuvre persiste encore au moment où l'on croit avoir tout oublié.
Tina Sol
Sommaire
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1 - Serge BERTRAN, Préface (1967), pages 7 à 13, préface2 - La Fille du destin (1967), pages 15 à 41, nouvelle3 - À la taverne des Sorcières (1966), pages 43 à 51, nouvelle4 - Aurelius Murr (1967), pages 53 à 75, nouvelle5 - L'Étrange Aventure de Steve Rye (1967), pages 77 à 110, nouvelle6 - L'Oncle James (1967), pages 113 à 116, nouvelle7 - Le Déménageur (1967), pages 119 à 131, nouvelle8 - Puppet-Show (1967), pages 133 à 167, nouvelle9 - Les Chouettes (1967), pages 169 à 187, nouvelle10 - L'Enfant du diable (1967), pages 189 à 226, nouvelle11 - Comme une odeur de soufre, pages 229 à 236, nouvelle
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