Quatrième de couverture
Une jeune fille se dressa et offrit à l'aïeul un cul admirable, peau des reins ôtée qui dévoilait sa fragile colonne vertébrale affleurant de sa raie culière, os dépiautés, taraudés par une cohorte chitineuse, qui se brisa net sous l'ardeur qu'elle mit à vouloir se faire foutre et bascula, entraînant avec elle boyaux et organes le long des lambeaux luisants de ses lombaires. Apocalypse nécrophage et pornographique. Agonies brutales accompagnées d'une incontrôlable soif de sexe. Tout cela parce que, à Eternod, la faune des cadavres dédaigne la fade chair des morts pour dévorer celle des vivants.
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