Quatrième de couverture
Ce qu'il y a de bien avec un fantôme, c'est qu'il est déjà mort. Comme le ridicule ne peut pas le tuer, le fantôme s'amuse tout le temps. Et comme il ne peut pas périr d'ennui, le fantôme mêne une mort excitante et remplie d'aventures. « Partir, c'est mourir un peu », dit-on. Ce qu'il y a de moins bien avec un fantôme, c'est qu'il ne veut plus partir, justement. Surtout quand il a trouvé des vivants à hanter... Lavalloise née en 1959, Francine Pelletier a publié de nombreuses nouvelles dans des revues, des anthologies et des collectifs, ainsi qu'un recueil qui s'est mérité deux prix littéraires en 1988. Elle ne croit pas aux fantômes et ne compte aucun notaire dans sa lignée ancestrale. Par compte, Cher ancêtre est son treizième roman et elle espère bien que cela lui portera chance.
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