Avec ce volume 24 se termine le cycle de la « Nouvelle époque de La Compagnie des Glaces » de G.-J. Arnaud, un univers romanesque en constante expansion depuis 1980.
Entre fonte et retour des glaces, plusieurs évènements dont l'issue était bien incertaine, arrivent à leur terme, mais laissent, comme dans la vie réelle, quelques interrogations.
Kurty, pour se conformer à l'irréductible testament de son père Kurts, organise l'exécution des cinq Anarques, ces dictateurs de Bakouninagrad qui furent responsables de la mort de Floa Sadon, la présidente de l'ex-Transeuropéenne à laquelle certains reprochaient sa liberté de mœurs.
En pleine cordillère des Andes, les réparations du dirigeavion sont terminées et on procède aux premiers vols d'essai, particulièrement périlleux. Cela n'a pas l'air d'émouvoir Lien Rag, toujours caché dans les entrailles du géant des airs. Énigmatique, impressionnant avec sa nouvelle tête de vautour, il ne dévoile à personne ses intentions, même pas à ses complices qui envisagent de l'abandonner à son sort.
La scientifique panaméricaine Louria Finister et Edgon Kowning, escroc notoire, sont sur le point de découvrir le virus qui depuis des siècles gangrène les réseaux informatiques de la Terre, au seul bénéfice des logiciels biologisés de ce morceau de Lune nommé Altaï.
Né en 1928 en Camargue, G.-J. Arnaud est l'un des auteurs les plus prolifiques de la planète. Depuis « Ne tirez pas sur l'inspecteur », prix du Quai des Orfèvres en 1952, il n'a cessé d'écrire, s'attaquant à tous les genres : policier, espionnage, aventure, science-fiction, fantastique. Au total, près de 400 romans. G.-J. Arnaud est un authentique écrivain populaire, héritier des grands feuilletonistes.