Quatrième de couverture
Qui est donc ce mystérieux « Homme à la Cape », ce personnage aux yeux de feu qui émerge des ténèbres viennoises au moment où le caissier Braunbrock s'apprête à fuir avec l'argent dérobé à la banque, et pourquoi le poursuit-il de ses sombres prophéties ? Comment est-il capable de lire dans les coeurs, de connaître le futur et le passé, de s'affranchir du temps et de l'espace ? De quoi, ou de qui, tire-t-il ses immenses pouvoirs ? Dans cette adaptation de Melmoth réconcilié, James Clarence Mangan, fidèle à l'esprit du récit de Balzac, rend aussi hommage à son compatriote C.R. Maturin et à Melmoth, l'homme errant. « Les Trente Flacons » est une version burlesque de La Peau de chagrin, mais, ici, ce n'est pas un talisman qui rétrécit... mais le personnage lui-même ! On sait les effets que Richard Matheson tirera de ce thème au XXe siècle. Quel va être le sort du malheureux Basil von Rosenwald qui, pressé par ses besoins d'argent, voit de jour en jour diminuer sa haute taille ? Saura-t-il échapper aux griffes de Maugraby, sorcier, prestidigitateur, et émissaire du Prince des Ténèbres ?
Sommaire
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1 - Claude FIEROBE, Introduction, pages 5 à 21, introduction2 - Claude FIEROBE, Note bibliographique, pages 21 à 22, bibliographie3 - L'Homme à la cape (The Man in the Cloak, a Very German Story, 1838), pages 23 à 61, nouvelle, trad. Claude FIEROBE4 - Les Trente Flacons (The Thirty Flasks, 1838), pages 63 à 158, roman, trad. Claude FIEROBE
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