Pour notre grand bonheur et grâce à l'impulsion de plusieurs petits éditeurs dont nous sommes, Nathalie Henneberg est revenue au goût du jour.

Le peu que nous savons d'elle et de son mari, dont elle empruntait le nom en guise de signature, bénéficiera d'un l'éclairage documenté grâce à l'article de Charles Moreau qui introduit ce numéro.

Ensuite, vous (re)découvrirez des nouvelles variées, certaines assez longues comme « L’opale entydre » que nous avons demandé à Iréna de Sainte Maresville d'illustrer pour la couverture ou « Les joyaux de Mundabor » qui toutes deux se prêteraient fort bien à une adaptation cinématographique.

    D’abord, notons qu’avec sa reliure en acier trempé façon érection de Superman, GandahaR est une revue adaptée à l’auto-défense. En tenant l’objet d’une main ferme du côté massicoté, la reliure en direction de l’ennemi, on peut casser des doigts, écraser un larynx, ébrécher une mâchoire et même arracher un œil… pour les plus doués d’entre nous.

    Bonus : si en plus vous êtes passionnés par Nathalie Henneberg et si le numéro 18 (mai 2019) de la revue n’a pas complètement comblé à vos désirs hennebergiens, vous pouvez aussi lire ce numéro 24… En attendant un 25e opus qui, pour sa part, est consacré à Nathalie Henneberg aux abysses.

Thomas DAY (site web)
Première parution : 1/1/2021 dans Bifrost 101
Mise en ligne le : 29/7/2024