Dans ce quatrième tome de Tristan débute la quête du Graal.
Les gentes dames, les preux chevaliers de la cour du roi Arthur ont atteint à la gloire éternelle, se sont élevés sur les cimes de la renommée. Mais les signes funestes ou équivoques s’accumulent, les déchirures d’un mystère tout-puissant surgissent à l’improviste, se multiplient ; une nouvelle génération est en train de voir le jour. Galaad, le pur Galaad, fils de Lancelot, entre en scène.
Et si Iseult occupe toujours les pensées de Tristan parti sur les chemins périlleux comme si, tant qu’il en était encore temps, quoi qu’il puisse arriver, il fallait poursuivre la course folle des aventures effrénées, l’air lui-même se charge d’une nuée funeste.