Winter is coming - Les racines médiévales de Game of Thrones
Carolyne LARRINGTON Titre original : Winter is coming, 2015 Première parution : Londres, Grande-Bretagne : I.B. Tauris, 30 novembre 2015ISFDB Cycle : Le Trône de fer (découpage annexe)
PASSÉS/COMPOSÉS
(Paris, France) Dépôt légal : avril 2019, Achevé d'imprimer : mars 2019 Réédition Étude d'une œuvre, 288 pages, catégorie / prix : 21,00 € ISBN : 978-2-3793-3048-3 Format : 14,5 x 22,0 cm✅ Genre : Fantasy
Quatrième de couverture
La saga Game of Thrones, qu'il s'agisse des romans de fantasy de George R.R. Martin ou de la série qui en a été tirée, fait l'objet de vives discussions à propos des surprenantes représentations du pouvoir, des structures sociales ou du rôle des femmes qu'elle met en scène. Pourtant, aucun auteur n'avait encore révélé aussi finement en quoi l'univers de Martin s'est construit sur les réalités d'un Moyen Âge aussi bien anglais (citons la guerre des Deux-Roses) et français (le poids de la chevalerie) que chinois (la pression des Mongols) ou scandinave (les raids vikings).
Pour en rendre compte, Carolyne Larrington va à la rencontre des géants, dragons et loups-garous dans les textes médiévaux ; elle cherche corbeaux, anciens dieux et autres sauvageons dans les mythes nordiques, avant de retrouver les sources de l'Orient gothique et exotique imaginé par Martin. Des marcheurs blancs aux Fer-nés, de Castral Roc aux cavaliers Dothrakis, l'auteur offre un guide indispensable pour comprendre le fond et le souffle historique de la plus importante création fantastique du XXIe siècle.
Carolyne Larrington enseigne la littérature médiévale aux prestigieux St John's College, à Oxford. Spécialiste des contes et légendes, de la tradition arthurienne et des sagas nordiques, elle a publié de nombreux livres, dont The Poetic Edda et King Arthur's Enchantresses : Morgan and her Sisters in Arthurian tradition.
« Beau, envoûtant et invitant à la rêverie, c'est une célébration et un enrichissement du monde de George R.R. Martin. Qu'est-ce qu'un fan pourrait vouloir de plus ? » Helen Castor