BELFOND
(Paris, France) Dépôt légal : 2ème trimestre 1967, Achevé d'imprimer : 4 avril 1967 Première édition Recueil de nouvelles, 174 pages, catégorie / prix : nd ISBN : néant Format : 13,5 x 18,3 cm✅ Genre : Fantastique
Couverture à rabats.
Quatrième de couverture
[texte du rabat de couverture]
Franz Hellens est né à Bruxelles, le 8 septembre 1881. Il fonde en 1920 Le Disque vert. La parution de Mélusine (Emile-Paul, repris chez Gallimard), « opéra » pré-surréaliste, impose le nom de Franz Hellens. Puis, la traduction russe de son roman Bass-Bassina-Boulou lui vaudra de faire connaissance avec Maïakovsky et Essénine. Comme l’a noté André Lebois (Franz Hellens, Poètes d’aujourd’hui, Seghers), « toute son œuvre aura été marquée par l’apparition — et la disparition volontaire — de ces météores ».
Avec Le dernier jour du monde, l’auteur des Réalités fantastiques (Disque vert, 1923; Gallimard, 1931) revient à un genre qu’il maîtrise : la nouvelle. L’unité du recueil tient à « cette originalité catégorique, inouïe, du style morceau d’homme, du style rêve » (Henri Michaux), aussi bien qu’à « une certaine émission de voix, la voix du conteur qui n’est que celle du révélateur », que saluait Ghelderode
1 - Michel de GHELDERODE, À propos de Franz Hellens, pages 7 à 13, préface 2 - Le Dernier jour du monde, pages 15 à 26, nouvelle 3 - Le Lapin de porcelaine, pages 27 à 47, nouvelle 4 - Le Conteur, pages 49 à 61, nouvelle 5 - La Divinité hindoue, pages 63 à 79, nouvelle 6 - Le Train fantastique, pages 81 à 98, nouvelle 7 - Le Pharmacien reconnaissant, pages 99 à 114, nouvelle 8 - Blaise et Monique, pages 115 à 141, nouvelle 9 - Entre le sommeil et la mort, pages 143 à 158, nouvelle 10 - Hubert JUIN, Lorsque le fantastique devient réel..., pages 159 à 169, postface