Guillaume Thiberge, la trentaine bien entamée, s’est récemment fait remarquer dans les différentes publications Destination Crépuscule, notamment dans les anthologies du même nom. Connu pour ses nouvelles, qu’elles soient sensibles (Les Voies du silence) ou déconcertantes (Vergessen Sie nicht den Furher), avec L’Appel de l’espace il change de registre et s’adonne à une science-fiction humoristique, débridée, que ne renieraient pas Douglas Adams, le trop rare Kevin H. Ramsey ou encore Robert Sheckley.

 

     Des aventures réjouissantes avec dans les rôles principaux :

• Gustave Ferrand, paysan du Causse armé d'un fusil de chasse légendaire, fabriqué à Navarone (si on en croit l'auteur)
• Un Layeri — gentil extraterrestre perdu sur notre beau territoire français et qui aimerait bien rentrer chez lui
• L'Autre (cette définition à défaut d'être précise est bien suffisante)
• Titi, l'indio et Sylvie, très représentatifs de notre belle jeunesse nationale et néanmoins désoeuvrée
• Astéroïde Anabolisante (walkyrie spatiale à la carrosserie fuselée)... et bien d'autres personnages hauts en couleurs.
   

     Préface de Red Deff      Entretien avec l’auteur