Quatrième de couverture
Ce soir là, un poste de télévision était allumé. L'écran éclairait furtivement un salon confortable d'une lumière tempérée, colorée et mouvante. Mais personne n'y prêtait attention.
Ce soir-là, cependant, un grand gaillard d'une trentaine d'années, aux épaules larges, musclées, mais sans excès, aux cheveux drus et noirs, coupés en brosse, occupait l'un des fauteuils de cet appartement du dernier étage d'un grand immeuble du quai Voltaire à Paris. Il souriait, un peu benoîtement. Un sourire qui comportait une petite part de satisfoction mois surtout une grande part de flou, d'interrogation. De regret aussi...
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