Selon Borgès, le temps est « problème inquiétant, exigeant, le plus vital peut-être de la métaphysique ». Le temps où la vie est ruse de la mort, rêve agité où l'on n'étreint que soi-même, illusion à laquelle chacun, de méprise en méprise, s'efforce de croire. Et si, une fois pour toutes, le temps était mort ? A jamais mort ? Ce sont là quelques-unes des thèmes fondamentaux qui apparaissent à travers les récits de ce livre et qui, tout en conservant le charme propre à la littérature de l'étrange, se veulent l'expression d'un fantastique moderne.
1 - L'Homme de main, pages 7 à 17, nouvelle 2 - Lettre à Mlle Catherine C., pages 19 à 24, nouvelle 3 - Un long sommeil, pages 25 à 34, nouvelle 4 - Remake, pages 35 à 53, nouvelle 5 - La Ruse, pages 55 à 62, nouvelle 6 - Quatre illustrations du thème du destin, pages 63 à 95, nouvelle 7 - La Vie rêvée, pages 97 à 117, nouvelle 8 - La Halte, pages 119 à 125, nouvelle 9 - Les Vaincus, pages 127 à 174, nouvelle 10 - Autodestruction, pages 175 à 182, nouvelle