Un botaniste amoureux de sa plante carnivore. Un curé qui se dédouble dans différents corps. Une femme-orange qui se laisse boire par ses amants. Une société d'esthètes fascinés par les marées noires. Des Indiens d'Amazonie qu'aucun linguiste ne comprend...
Entre Marcel Aymé et Jorge Luis Borges, ces quatorze nouvelles où le drolatique se mêle à l'onirique provoquent une joie... dévorante.
« Pour me punir ou m'honorer, je ne sais, le Seigneur m'a donné deux corps plutôt qu'un seul. »
Bernard Quiriny est né en 1978 en Belgique. Journaliste à Chronic'Art, il a publié un premier recueil de nouvelles, L'Angoisse de la première phrase (2005), qui a remporté le prix de la Vocation.
« Un recueil libre, virtuose, jubilatoire et revigorant. »
1 - Enrique VILA-MATAS, Un catalogue d'absents, pages 7 à 15, préface, trad. André GABASTOU 2 - Sanguine, pages 19 à 30, nouvelle 3 - L'Épiscopat d'Argentine, pages 31 à 44, nouvelle 4 - Qui habet aures..., pages 45 à 56, nouvelle 5 - Quelques écrivains, tous morts, pages 57 à 62, nouvelle 6 - Quiproquolis (Comment parlent les Yapous), pages 63 à 74, nouvelle 7 - Marées noires, pages 75 à 91, nouvelle 8 - Mélanges amoureux, pages 92 à 105, nouvelle 9 - Chroniques musicales d'Europe et d'ailleurs, pages 106 à 126, nouvelle 10 - Souvenirs d'un tueur à gages, pages 127 à 148, nouvelle 11 - Le Carnet, pages 149 à 158, nouvelle 12 - Extraordinaire Pierre Gould, pages 159 à 170, nouvelle 13 - L'Oiseau rare, pages 171 à 182, nouvelle 14 - Une beuverie pour toujours, pages 183 à 201, nouvelle 15 - Conte carnivore, pages 202 à 220, nouvelle