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Les Filles du feu, suivi de Aurélia

Gérard de NERVAL

Première parution : Paris, France : D. Giraud, janvier 1854

Illustration de A. GIRARDIN

LIVRE DE POCHE (Paris, France), coll. Classique précédent dans la collection n° 690 suivant dans la collection
Dépôt légal : 2ème trimestre 1967
Retirage
Recueil de nouvelles, 288 pages, catégorie / prix : nd
ISBN : néant
Format : 11,0 x 16,8 cm
Genre : Fantastique

Autres éditions

Sous le titre Les Filles du feu, Aurélia   FAMOT, 1974
Sous le titre Les Filles du feu, suivi de Aurélia
   GALLIMARD, 1983
   LIVRE DE POCHE, 1962

Quatrième de couverture
Né à Paris le 22 mai 1808, fils d'un médecin militaire, GERARD DE NERVAL (G. Labrunie) perd sa mère très tôt et passe son enfance chez son grand-oncle à Mortefontaine, dans le Valois dont les paysages hanteront par la suite son œuvre. Au lycée Charlemagne, il lie avec Th. Gautier une amitié qui durera toute leur vie. La notoriété lui vient par sa traduction du Faust de l'écrivain allemand Goethe (1828). Il fait partie du Petit Cénacle, fréquente Hugo, Balzac, G. Sand, Dumas, Pétrus Borel. Il mène avec Gautier les troupes romantiques lors de la bataille d'Hernani (1830).
  A cette époque naît sa passion malheureuse pour l'actrice Jenny Colon : le thème des amours impossibles devient une obsession qu'il tente de guérir par le voyage (Italie). Il a quelques succés de théatre (Tartuffe chez Molière) et un héritage lui permet d'échapper à la tutelle de son père qui l'avait contraint à étudier la médecine après un essai infructueux chez un imprimeur et un notaire (1834).
  La faillite du Monde Dramatique qu'il avait financé (36) l'oblige à se lancer à fond dans le journalisme. Il écrit, traduit (Heine), visite France, Pays-Bas, Allemagne. La folie le frappe en 41. Remis, il va en Egypte, Syrie et Turquie, d'où il rapporte Scènes de la vie orientale (48-50) et Voyage en Orient (paru en 56). Malgré l'appui de ses amis, il a la hantise de la rechute qui l'empêchera de travailler. Cependant, entre deux séjours à la clinique du Dr. Blanche, il publie Petits Châteaux de Bohème, Contes et Facéties (52) et son chef-d'œuvre : Sylvie (53) que suivent Les Filles du Feu et les sonnets Les Chimères (54).
  Après une grave crise, il fixe ses hallucinations poétiques dans Aurélia ou le rêve et la vie (55). Celui que Sainte-Beuve appelait le gentil Gérard est retrouvé pendu dans une rue du vieux Paris le 25 janvier 1855.
  Autres œuvres : Elégies Nationales, les Faux-Sauniers, les Illiminés, l'Imagier de Haarlem, Promenades et Souvenirs.
Sommaire
Afficher les différentes éditions des textes
1 - Béatrice DIDIER, (Préface), pages 5 à 10, préface
2 - À Alexandre Dumas, pages 11 à 24, introduction
3 - Angélique, pages 25 à 119, nouvelle
4 - Sylvie (Souvenirs du Valois), pages 120 à 158, nouvelle
5 - Chansons et légendes du Valois, pages 159 à 171, nouvelle
6 - Octavie, pages 172 à 179, nouvelle
7 - Isis, pages 180 à 194, nouvelle
8 - Corilla, pages 195 à 216, nouvelle
9 - Aurélia, pages 217 à 283, nouvelle
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