J'entends maintenant deux mots qui reviennent à espaces réguliers : « FANTOME, SANG... FANTOME, SANG... »
Mon Dieu ! L'idée de sabbat me frappe le cerveau !
Il faut que je sache !
Je tente d'ouvrir la porte, je mets la main sur la poignée : je pousse un grand cri. La poignée est brûlante ! Je me contorsionne en serrant la main. Cette poignée, elle tourne d'ailleurs au rouge...
Dans la pénombre, elle me rappelle singulièrement... elle me rappelle singulièrement... un Fantôme de Sang...