« Quatre longues nouvelles fantastiques composent le Visage de feu, premier livre de J.L. Bouquet, qui écrit une langue remarquable... et apparaît comme un maître du genre ». (Jean Rousselot, Les Nouvelles littéraires).
Jean Louis Bouquet est né avant le siècle à Paris, dans une maison au décor étrange. Dès l'enfance, il est fasciné par le merveilleux populaire. Il dévore Nick Carter, Buffalo Bill, Nat Pinkerton, Fantômas. Dans les années 20, il écrit des scénarios, notamment pour Germaine Dulac (Lediable dans la ville) et pour Luitz-Morat (La cité foudroyée, l'un des premiers films français de science-fiction, qui influencera Alain Resnais). En 1943, il invente le roman policier réaliste mais ouvert à une explication sur naturelle ; plus tard lui reviendra le mérite d'écrire des histoires fantastiques pouvant recevoir une explication psychanalytique, donc réaliste...
1 - Liminaire, pages 7 à 9, nouvelle 2 - Alastor ou le visage de feu, pages 11 à 85, nouvelle 3 - Assirata ou Le miroir enchanté, pages 87 à 107, nouvelle 4 - Alouqa ou la comédie des morts, pages 109 à 144, nouvelle 5 - Asmodaï ou le piège aux âmes, pages 145 à 201, nouvelle 6 - Postface de l'auteur, pages 203 à 209, postface