Ces contes ont longtemps dormi, repliés dans les mémoires. Lorsque je les ai découverts, je les ai aimés. Depuis, ils ont pris l'air, ils sont allés sur les chemins, sur les sentiers, dans les villages et dans les villes, dans mon île et ailleurs. Ils sont passés d'une langue à l'autre, car c'est cette autre musique qui les a aidés à trouver leur forme et à avancer.