Quatrième de couverture
Délaissant le merveilleux tel qu’on le connaît dans les contes de Mme d’Aulnoy ou dans ceux des conteuses du Cabinet des fées, le XVIIIe siècle se tourne vers d’autres enchantements et se passionne pour la féerie habillée à l’orientale, donnant ainsi au baroque son ultime forme. Et de même qu’à ses boiseries il peint Chinois et singes, il écoute soudain ravi une autre parole née du désir, celle des Mille et Une Nuits que Galland lui fait découvrir. En écho, Pétis de La Croix laisse entendre celle des Mille et Un Jours et Thomas Gueullette Les Mille et Un Quarts d’heure.
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