"Ampleur du souffle et de la vision, bouffée de poésie, discret romantisme, solidité des intrigues [...] voilà pour Vonarburg."
Le Magazine littéraire
Les Grandes Marées ont déjà considérablement rongé la falaise ; ce n'était d'ailleurs déjà à leur époque qu'un promontoire oblique de quelques centaines de mètres de long, une résurgence de la montagne dont l'échine érodée par l'âge, mais artificiellement consolidée, constitue l'assise de Baïblanca un peu plus au sud. Ils y venaient souvent dans leur enfance, Narval et elle. C'est là qu'il a fait construire sa villa...
À la pointe d'un Sud, au bord d'une mer, dans un monde posé entre mort et renaissance, se dresse Baïblanca, ville hantée par la montée des eaux, où se côtoient humains métamorphosés, oeuvres d'art vivantes et autres créatures énigmatiques.
Or, est-ce bien une ville ? Ou plusieurs ? Ou alors le point nodal de différents univers, l'attracteur étrange qui leur permet peut-être de communiquer ?
Sept nouvelles d'hier et d'aujourd'hui, sept voyages dans l'espace-temps infiniment flexible d'Élisabeth Vonarburg.
1 - Oneïiros, pages 1 à 64, nouvelle 2 - Bande ohne Ende, pages 65 à 108, nouvelle 3 - Dans la fosse, pages 109 à 136, nouvelle 4 - Les Dents du dragon, pages 137 à 190, nouvelle 5 - Janus, pages 191 à 232, nouvelle 6 - La Maison au bord de la mer, pages 233 à 256, nouvelle 7 - ...Suspends ton vol, pages 257 à 275, critique(s)