Que le fantastique soit aussi une disposition d'esprit, un regard privilégié porté sur les hommes et les choses, ce recueil de neuf contes nous le montre avec éclat. Il y a ici certes des déchirures brutales, d'horribles moments, des lueurs d'épouvante, de curieux dédoublements et d'incroyables méprises, mais aussi une quête passionnée de l'identité, une interrogation lancinante sur la difficulté d'être et de vivre — sur les foudroyantes incertitudes de la vie et de la mort. Avec Jean-Pierre Bours, le fantastique est bien ainsi la voix d'un désarroi panique. Davantage : le chant désespéré d'une blessure.
1 autre édition de ce texte dans nooSFere : - in Celui qui pourrissait (ARBRE VENGEUR (L'), 2012)
6 - Le Château des réminiscences, pages 94 à 115, poésie
1 autre édition de ce texte dans nooSFere : - in Celui qui pourrissait (ARBRE VENGEUR (L'), 2012)
7 - La Vérité sur la mort d'Aaron Goldstein, pages 116 à 131, nouvelle
1 autre édition de ce texte dans nooSFere : - in Celui qui pourrissait (ARBRE VENGEUR (L'), 2012) sous le titre La Verité sur la mort d'Aaron Goldstein
8 - La Mort du juste, pages 132 à 146, nouvelle
1 autre édition de ce texte dans nooSFere : - in Celui qui pourrissait (ARBRE VENGEUR (L'), 2012)
9 - Entre Charybde et Scylla, pages 147 à 163, nouvelle
1 autre édition de ce texte dans nooSFere : - in Celui qui pourrissait (ARBRE VENGEUR (L'), 2012)
10 - Aujourd'hui l'abîme, pages 164 à 186, nouvelle
1 autre édition de ce texte dans nooSFere : - in Celui qui pourrissait (ARBRE VENGEUR (L'), 2012)