Quatrième de couverture
Jean-Louis Le May vous présente le premier d'une série de récits concernant des événements d'un futur qui n'a pas encore marqué nos mémoires...
... Pardon ! Que nos mémoires n'ont pas oublié après que la vague de nos projections du temps se soit retirée une fois encore, abandonnant les épaves des rêves, brisées par le précédent ressac.
Ces récits relatent ce qui surviendra dans la vie de gens simples que notre présent marquera sans qu'ils en aient eu conscience. Ils sont reliés entre eux par l'unicité du lieu et la robuste nature de certains des personnages.
Il est évidemment possible que quelques-uns de ces derniers, ainsi que le territoire de leurs aventures, soient reconnus par les exégètes de notre proche futur. Le chroniqueur n'a pas cherché à éviter cet écueil, considérant, peut-être à tort, qu'il n'a pas de responsabilité dans le déroulement des évènements survenant dans notre avenir.
Critiques
Jean-Louis le May tout seul (désormais sans D.) signe avec L'Ombre dans la vallée, premier tome des « Chroniques des temps à venir », une étonnante page de science-fiction occitane, paillarde et au franc-parler, violente jusqu'à l'excès. Malgré une complaisance parfois suspecte dans le dosage du cocktail sexe-violence, ce récit de l'après-cataclysme est digne du monde de L'autoroute sauvage. Une démesure inhabituelle pour l'auteur et la collection. A suivre... Denis GUIOT Première parution : 1/7/1979 dans Fiction 303 Mise en ligne le : 6/12/2009
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