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Le Livre des secrets trahis

Robert CHARROUX

Première parution : Paris, France : Robert Laffont, 1965


Robert LAFFONT (Paris, France)
Dépôt légal : 2ème trimestre 1965
Première édition
Roman, 392 pages, catégorie / prix : 15,00 F
ISBN : néant
Genre : Hors Genre


Quatrième de couverture
LE LIVRE DES SECRETS TRAHIS

     Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans, le précédent livre de Robert Charroux, constituait un véritable recensement de l'insolite terrestre ; son objectif : prouver l'existence d'Ancêtres Supérieurs. Le livre des secrets trahis va plus loin : Robert Charroux y commence l'élaboration d'une histoire « interdite » de l'humanité, en appuyant ses hypothèses sur le document le plus ancien du monde : le livre d'Enoch. Enoch, comme tous les grands patriarches de la Bible, était « né de père inconnu » ; comme eux, il fut enlevé « vivant » dans le ciel ; seul, le livre d'Enoch consacre cent cinq chapitres aux « anges » descendus du ciel pour épouser les belles terriennes. Qui étaient ces « anges » ? Là réside le plus grand secret de notre histoire inconnue — inconnue parce qu'elle fut, qu'elle est encore, interdite. Mais ce n'est pas le seul mystère que Robert Charroux met ici en lumière ; il montre, par exemple, que le monde n'a commencé ni à Sumer, ni aux Indes, ni en Egypte, mais en Amérique, dans cette Floride prodigieuse qu'il nous faut identifier à l'Hyperborée des lointains ancêtres d'Occident... Le livre des secrets trahis foisonne ainsi de découvertes bouleversantes, de révélations initiatiques, de vérités dangereuses à connaître et à dire — mais qu'il est temps, estime Robert Charroux, de dire.

     Notre document de couverture : Cette tête en pierre, pesant près de vingt tonnes, est un message laissé par le mystérieux peuple Olmec du Mexique, qui était très antérieur aux Mayas, et vivait peu après le Déluge. Le personnage, de type tout à fait étranger à l'Amérique ancienne, casqué comme un cosmonaute, est-il la figuration d'un pilote de Ouetzalcoatl, le dieu « venu de la planète brillante » et qui y retourna « sur une machine volante » ? L'idée d'initiateurs volants, originaires de Vénus, est trop souvent présente dans les traditions des Mayas et des Incas pour qu'elle n'ait pas une signification précise.
(Photo Lawrence Cherney).
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