Quatrième de couverture
Si, selon certains, le temps est une dimension comme une autre, on doit donc pouvoir s'y déplacer. Et qui dit voyages dit aventures : un des ressorts privilégiés des littératures de l'imaginaire que sont la science-fiction et la fantasy. Dans une longue entrevue, deux écrivains québécois, René Beaulieu et Denis Côté, nous donnent quelques éléments de réflexion sur l'utilisation du thème du temps dans la science-fiction. Où l'on s'aperçoit, que contrairement à une idée préconçue, l'uchronie ou le steampunk ne sont pas les seuls sous-genre à avoir prêter une attention particulière à cette dimension qui nous échappe. En plus des impressions de lecture de quelques romans particulièrement intéressants quant au thème du temps, Bruno B. Bordier nous offre une version définitive d'un texte mélangeant histoire d'amour et paradoxe temporel : un homme peut-il trouver le moyen de ne jamais oublier la femme qu'il a aimé passionnément ?
Sommaire
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1 - Jean-Jacques RÉGNIER, Nicholson Baker, Le point d'orgue, pages 4 à 8, critique(s)2 - P.J.G. MERGEY, Gilles Dumay (dir.), Aventures lointaines, 01, pages 9 à 13, critique(s)3 - Bruce Scott LEVINSON, L.E. Modesitt, Jr., The Ghost of the Revelator, pages 14 à 18, critique(s)4 - Nalo HOPKINSON, Ronald Wright, A Scientific Romance, pages 19 à 21, critique(s)5 - René BEAULIEU & Denis CÔTÉ, Quelques réflexions sur le thème du temps dans la science-fiction, pages 22 à 53, article6 - Bruno B. BORDIER, Rêveur d'oubli, pages 54 à 62, nouvelle
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