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Solaris n° 160

REVUE

Cycle : Revues - Solaris (Requiem)  vol. 160 


Illustration de Laurine SPEHNER

SOLARIS , coll. Solaris (revue) n° 160
Dépôt légal : septembre 2006
Première édition
Revue, 160 pages, catégorie / prix : 8.69 $
ISBN : néant
Format : 13,7 x 21,0 cm
Genre : Imaginaire



Pas de texte sur la quatrième de couverture.
Sommaire
Afficher les différentes éditions des textes
1 - Joël CHAMPETIER, Éditorial, pages 3 à 4, éditorial
2 - Julie MARTEL, Stiletto, pages 7 à 14, nouvelle, illustré par Laurine SPEHNER
3 - Jean-Louis TRUDEL, Les Noms de la proie, pages 15 à 34, nouvelle, illustré par Julie RAY
4 - Hugues MORIN, L'Imposteur, pages 35 à 39, nouvelle, illustré par Bernard DUCHESNE
5 - Mehdi BOUHALASSA, Le Fonctionnaire rebelle, pages 41 à 58, nouvelle, illustré par Mehdi BOUHALASSA
6 - Richard D. NOLANE, Ce qui est dans la monstrance, pages 59 à 78, nouvelle, illustré par Bernard DUCHESNE
7 - Glenn GRANT, Dérive mémétique, pages 79 à 100, nouvelle, trad. Élisabeth VONARBURG, illustré par Bernard DUCHESNE
8 - Jean-Louis TRUDEL, Aux origines des petits hommes verts (2005), pages 103 à 115, article
9 - Mario TESSIER, Les Carnets du Futurible: Métaphysique du gadget, pages 117 à 133, article
10 - Pascal RAUD & Bärbel REINKE, Sur les rayons de l'imaginaire, pages 134 à 145, chronique
11 - Laurine SPEHNER, Les Littéranautes, pages 146 à 147, critique(s)
12 - COLLECTIF, Lectures, pages 148 à 160, critique(s)
Critiques
     Franchissons maintenant l'Atlantique pour parler de la revue Solaris, sous-titrée « L'anthologie permanente des littératures de l'imaginaire », dont le numéro 160 a paru cet automne. J'avoue sans mal que ça faisait des années que je n'avais pas lu un numéro de cette petite revue canadienne francophone dirigée par Joël Champetier, Jean Pettigrew, Daniel Sernine et Elisabeth Vonarburg. Dans l'ensemble, je n'ai guère été convaincu par les fictions présentes au sommaire. La nouvelle de Julie Martel est une jolie fantasy à la Peter S. Beagle, un brin absconse ; le texte de Jean-Louis Trudel est ambitieux mais absolument incompréhensible en ce qui me concerne ; « L'imposteur » de Hughes Morin est une stephenkingerie anecdotique ; « Le fonctionnaire rebelle » de Mehdi Bouhalassa bénéficie d'une écriture assez fabuleuse, d'une belle pertinence psychologique, mais ne va quasiment nulle part ; « Ce qui est dans la monstrance » de Richard D. Nolane est une nouvelle à chute, bien écrite, dont l'atmosphère m'a rappelé celle de « La comédie inhumaine » de Michel Pagel. Le seul texte traduit de la sélection, « Dérive mémétique » de Glenn Grant (c'est pas un nom de whisky, ça ?), m'a semblé de loin le plus intéressant. Malheureusement il a été piétiné à la traduction par une Elisabeth Vonarburg qui devrait se remettre un poil en question, me semble-t-il, tant ses traductions récentes (de ce texte, mais aussi du Dernier rayon du soleil de Guy Gavriel Kay) relèvent à la fois de la boucherie et du dilettantisme. Reste le plus intéressant dans cette revue : les articles. « Aux origines des petits hommes verts » de Jean-Louis Trudel ; « Métaphysique du gadget » de Mario Tessier. Le numéro se clôt sur l'actualité des parutions au Québec et un volet critique assez mou où Pascale Raud se lâche sévère en livrant une critique-hommage du Hollywood Blues de Kim Newman.

Thomas DAY
Première parution : 1/1/2007 dans Bifrost 45
Mise en ligne le : 6/3/2009

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