NOUVELLES ÉDITIONS OSWALD (NéO)
(Paris, France), coll. 8ème Art n° 1 Dépôt légal : 4ème trimestre 1989, Achevé d'imprimer : octobre 1989 Première édition Étude d'une œuvre, 242 pages, catégorie / prix : 450 F ISBN : 2-7304-0535-6 Format : 22,0 x 29,0 cm✅ Genre : Science-Fiction
Ouvrage numéroté, relié, sous jaquette illustrée, avec des illustrations photographiques en couleurs. Accompagné d'une planche en couleurs reprenant l'illustration du frontispice pour les souscripteurs du livre (scan de droite). L'édition originale comprend 2 exemplaires numérotés 1 et 6 réservés à Patrick McGoohan, 1511 exemplaires numérotés de 8 à 1518, 17 exemplaires numérotés de 2/A à 2/Q réservés aux souscripteurs et 100 exemplaires hors commerce marqués HC 1 à 100.
Quatrième de couverture
Série culte pour plusieurs générations de téléspectateurs, programmée régulièrement par les télévisions du monde entier, Le Prisonnier, comme bien d’autres chefs-d’œuvre, resta longtemps incompris et sa première diffusion fit même scandale.
Première véritable œuvre d'art produite pour la télévision, cette série britannique en dix-sept épisodes, peut être considérée comme l’œuvre d’un seul artiste, créateur inspiré et visionnaire, l’acteur-réalisateur Patrick McGoohan, qui en fut aussi le principal et inoubliable interprète.
Œuvre unique dans l’histoire d’un art nouveau, Le Prisonnier fait aujourd’hui l’objet d’une entreprise unique : ce premier livre d’art consacré à une série télévisée — qui est aussi la première publication des Éditions Huitième Art.
Les photos, la plupart en couleurs, dont 20 en pleine page, les nombreux extraits bilingues des dialogues contenus dans les récits donnant un large aperçu des dix-sept épisodes, les documents et études qu'il propose, ainsi que l'entretien exclusif dont Patrick McGoohan a tenu à l’honorer, feront de cet ouvrage le livre de référence pour tous les inconditionnels de la série.
Mais la fonction de tout livre d’art étant de s’effacer devant l’œuvre qu’il présente, le but de celui-ci est d'abord de transformer ceux de ses lecteurs qui ne le connaissent pas en autant de spectateurs éblouis du Prisonnier.
« Plus qu’une simple série télévisée, Patrick McGoohan a réalisé une œuvre d’art qui se situe quelque part entre Swift et Debord, un véritable reportage sur notre époque et assurément le plus beau et le plus intelligent pamphlet de notre après-guerre. » Christian Durante.
« Le plus grand film de science-fiction de tous les temps. » Roland Topor.
« Comme beaucoup d’œuvres franchement révolutionnaires, Le Prisonnier ne semble avoir inspiré aucune œuvre du même genre. » Jacques Sternberg.
« Le Prisonnier nous laisse, fascinés et transis, en possession d’un message qui est celui de la première fiction de l'an 2000. » François Rivière.