Quatrième de couverture
Bien avant que l'humanité ne se regroupe virtuellement en un grand village planétaire, les petits villages disposaient d'un moyen sûr pour transmettre le savoir et repousser les noirs corbeaux de l'inconnu : le proverbe. Sibyllin ou sentencieux, réconfortant ou cinglant, il a réponse à tout, même lorsqu'on l'interroge sur lui-même : ainsi, pour les Marocains, « Le proverbe est la lampe des mots » tandis qu'en Chine on affirme que « Lorsqu'on a appris le livre des proverbes, on n'a plus d'efforts à faire pour parler. » Qu'ils les corroborent ou témoignent de leurs limites, six auteurs ont mis en scène six de ces proverbes. Car s'il y a bien une manière d'éprouver leur réalité, c'est en les confrontant à la fiction.
Sommaire
Afficher les différentes éditions des textes
1 - Ghislaine MAÏMOUN, La Vengeance est un plat qui se mange froid, pages 9 à 13, nouvelle2 - Frédérique LORIENT, Pour vivre heureux, vivons cachés, pages 15 à 27, nouvelle3 - Laurence RODRIGUEZ, Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir, pages 29 à 39, nouvelle4 - Nathalie SALVI, L'Habit ne fait pas le moine, pages 41 à 50, nouvelle5 - Véronique PINGAULT, On n'est jamais si bien servi que par soi-même, pages 51 à 78, nouvelle6 - Isabelle GUSO, Là où frappe le professeur, une rose fleurit, pages 79 à 96, nouvelle
|