L'ingénieur de Sébastien Sabat. Franchement, j'aimerais bien juste bosser pour l'amour de la science. Enfin à condition qu'à partir de là, tout ce dont j'ai envie soit grauit ! Et comme ce n'est pas le cas, je vends mes services de savant désabusé à ceux qui peuvent se les payer. Comme on dit, l'argent n'a pas d'odeur.
La lettre de refus d'Olivier Gechter. Ou les difficultés de changer de branche quand on est un peu trop connu et spécialisé.
Un voile sur vos yeux de Prune Mateo. Depuis le temps, on sait bien que l'exploration des planètes étrangères s'avère dangereuse. Et pourtant, à chaque fois, on s'y lassie prendre, non ? Étrangères, vous avez dit étrangères ?
Vive le vent de Philippe Goaz. Une petite fable poétique sur les tribulations d'un petit meunier au pays des vents.
La faune apprivoisée de Pomme. Moi je ne trouve pas que mamie soit bizarre. Elle est un peu originale certes, solitaire, mais surtout très gentille et proche de la nature. Cependant, c'est vrai qu'il y a ce jour de juin, chaque année, où elle se lève avant l'aube et va faire un tour seule au bout du jardin...
Le Rêveur de l'Élysée de Sylvain Lasjuilliarias. Quand on est un président hyperactif et hyperoccupé (ça me rappelle quelqu'un...), il faut quand même trouver du temps pour dormir peu, mais se reposer plus. Il doit bien exister un moyen, non ?