Une jeune fille de province ambitieuse traverse guerre, révolution et épidémie avec toujours le même but : revenir vers sa famille auréolée de gloire.

     Alors que les combats font rage aux frontières du royaume, elle s’introduit auprès des puissants d’une grande ville concurrente de la capitale et participe à un complot contre le roi.

     D’amis en ennemis, d’espoirs en désillusions, elle se lancera par amour au cœur d’une insurrection, affrontera les préjugés pour sauver sa vie, connaîtra la traîtrise et l’amitié, sans jamais oublier son objectif : rentrer au pays et y être adulée.

 

     Un royaume désenchanté qui n’est pas sans rappeler la Renaissance italienne et la Révolution française.

     Une ville qui tente de sauvegarder sa grandeur en s’enivrant de théâtre et d’opéra.

 

     Écrivain aux multiples facettes, Maëlig Duval se frotte à tous les formats, depuis la nouvelle courte jusqu'au roman fleuve. Si la fantasy reste son domaine de prédilection, elle n'hésite pas à explorer d'autres contrées de l'imaginaire, comme les rêves de l'enfance (L'aquarium de Jules), le vampire urbain (A Bloody Melody) ou encore les psychoses collectives (De la veille au lendemain).

 

     Avec Le goût des cendres, elle crée un monde foisonnant où les harangues révolutionnaires se mêlent aux ivresses vulgaires, les mesquineries humaines aux actes héroïques, les découvertes scientifiques aux arts de la guerre, les complots politiques aux arts de la scène.