Quatrième de couverture
Michel Jeury a écrit L’Adieu à la verte prairie dans le cadre de la préparation de l’exposition de juin 2013 à Issigeac rendant hommage à l’ensemble de son œuvre. Cet événement, titré « Entre futurs et terroirs » a donné son nom à la collection naissante.
Il s’agit ici d’une quête omniprésente dans l’œuvre de cet auteur phare de la science-fiction française, mais aussi dans nombre de ses romans de terroirs : que faire de l’intelligence humaine, en considérant qu’elle puisse exister ? De nombreuses fois, Jeury a trébuché sur cette question, la transformant en une trame majeure de son œuvre.
De La Machine du pouvoir, prix Jules Verne en 1960, aux îles de la lune, réédité en mai 2013, Michel Jeury cherche en permanence une solution pour donner plus de valeur à l’individu, lui permettre de s’émanciper ou tenter de survivre dans un monde qui part à la dérive.
L’Adieu à la verte prairie est un conte initiatique aux allusions multiples, aux techniques d’écriture déjà maîtrisées dans ses ouvrages passés. C’est un échantillon de son talent, qui nous perturbe et nous interroge sur notre nature et sur le sens de la vie.
Sommaire
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1 - Natacha VAS-DEYRES, Avant-propos, pages 5 à 7, introduction2 - Emmanuel Marc DUBOIS, Michel Jeury et Issigeac, pages 9 à 12, article3 - L'Adieu à la verte prairie, pages 13 à 34, nouvelle4 - Sagérac en Périgogne, pages 35 à 36, nouvelle5 - La Naissance de Cochonville, pages 37 à 41, nouvelle6 - (non mentionné), Michel Jeury - Les Nouvelles, pages 43 à 50, bibliographie7 - (non mentionné), Michel Jeury - Bibliographie, pages 51 à 58, bibliographie
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