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Solaris n° 206

REVUE

Cycle : Revues - Solaris (Requiem)  vol. 206 


Illustration de Tomislav TIKULIN

SOLARIS (Lévis, Canada), coll. Solaris (revue) n° 206
Dépôt légal : avril 2018, Achevé d'imprimer : avril 2018
Première édition
Revue, 160 pages, catégorie / prix : 12,95 $
ISBN : néant
Format : 13,3 x 21,0 cm
Genre : Imaginaire

Numéro de printemps.



Pas de texte sur la quatrième de couverture.
Sommaire
Afficher les différentes éditions des textes
1 - Pascal RAUD, Présentation, pages 5 à 6, éditorial
2 - Martine BOURQUE, Fétiches funèbres, pages 7 à 22, nouvelle, illustré par Marc PAGEAU
3 - Dave CÔTÉ, Ma station de métro, pages 23 à 45, nouvelle, illustré par Bernard DUCHESNE
4 - Josée LEPIRE, L'Odeur de tes racines, pages 47 à 61, nouvelle, illustré par Marc PAGEAU
5 - Karine RAYMOND, Pendant l'hiver, pages 63 à 82, nouvelle, illustré par Marc PAGEAU
6 - Christian LÉOURIER, Celui qui parle aux morts, pages 83 à 107, nouvelle, illustré par Bernard DUCHESNE
7 - Mario TESSIER, Les Carnets du Futurible : L'Archéologie spatiale, ou la recherche des technofossiles, pages 109 à 131, article, illustré par Suzanne MOREL
8 - Geneviève BLOUIN & Marc Ross GAUDREAULT, Les Littéranautes, pages 133 à 140, critique(s)
9 - COLLECTIF, Lectures, pages 141 à 160, critique(s)
Critiques

   Il faut du courage — beaucoup — pour continuer la lecture de ce Solaris après l’effroyable texte de Martine Bourque « Fétiches funèbres », aussi idiot que mal écrit, mais qui, circonstance atténuante, semble être la première publication de l’auteure. Le bon côté de la chose, c’est que Martine (qui préfère ici les cimetières à la plage) a une marge de progression potentiellement phénoménale. Sur une idée qu’aurait pu avoir Stephen King un jour sans… idées. Dave Côté propose une nouvelle impeccablement médiocre, de bout en bout. On applaudit d’une seule main. Les autres nouvelles peinent à convaincre : Karine Raymond a une plume correcte mais manque d’ambition, Christian Léourier produit du style, mais son histoire éthérée de marins et de fantômes manque cruellement de personnages à qui se rattacher. La dernière phrase est magnifique : «  Existe-t-il dans l’océan une seule goutte d’eau qui n’a jamais connu le rivage ? » Mario Tessier, fidèle à ses mauvaises habitudes, se penche avec brio sur l’archéologie en SF. On ferme la revue en regrettant de ne pas avoir apprécié davantage les nouvelles.

Thomas DAY
Première parution : 1/7/2018 dans Bifrost 91
Mise en ligne le : 14/5/2023

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